1. Patricia ou Rana ou Eloïse


    Datte: 08/02/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... elle soumet la chair gonflée de sang. Plus vite qu’elle ne l’a calculé l’homme part, emplit la bouche et couvre le visage de foutre blanc visqueux. Plus vite que l’éjaculateur ne l’a calculé, sperme avalé, Rana l’engloutit à nouveau et accentue sa pression en accompagnant les déplacements de ses lèvres épaisses du mouvement de ses mains sur la colonne masculine. Elle le trait.
    
    Eloïse est-elle aussi indifférente qu’elle ne l’a dit. Elle détourne son regard de cette fellation, observe Patricia puis s’arrête sur Mamadou. Peut-être fatigué par ses excès amoureux du matin avec ma femme, l’étalon est sensible au déchaînement de sa femme sur son ami. En est-il satisfait, je ne sais, mais en suivant le changement des traits du visage d’Eloïse j’examine mieux les réactions de la quille du noir : elle aussi se met à se transformer. Elle était ramollie, flasque, elle enfle grossit, décolle des cuisses, lève son extrémité, reprend l’aspect redoutable décrit dans le chapitre « la star ». Pour mémoire je cite un passage de ce récit paru fin avril
    
    - « et jaillit sous le nez retroussé un sexe énorme, de plus de vingt centimètres, dont l’extrémité en fer de lance émoussé est portée au bout d’un rouleau aplati, large et de bonne épaisseur. La chevelure d’écolière fait un bond en arrière devant ce trigonocéphale menaçant. Instinctivement elle y porte les mains pour le détourner et s’en protéger. Inutile tentative, la barre est solide, oscille de bas en haut autour d’un axe tourné vers ...
    ... le plafond. Les yeux écarquillés disent l’étonnement et la frayeur. Elle doit se demander si...ce n'est pas trop gros pour elle. »
    
    Les mêmes causes produisant les mêmes effets, je lis dans les yeux d’Eloïse le même étonnement marqué de stupeur. Elle est surprise, se pose la même question, aimerait savoir si cela existe vraiment, si ces dimensions et formes peuvent convenir à toutes les femmes, si ce n’est pas trop gros pour elle, quel effet un tel monstre pourrait avoir sur son propre sexe. Elle est Eve devant le fruit défendu. Rana autorise, permet, Rana ne dira rien. Comment Rana dirait-elle quelque chose, elle qui avale en ce moment la seconde décharge de liquide séminal de Claude.
    
    Qu’est-ce qui la retient ? Ah, elle se tourne vers moi, n’ose pas demander, mais le désir fait briller ses yeux. Elle subit la même attirance qu’a pu subir Patricia, qu’ont pu subir tant d’autres femmes curieuses de savoir, de connaître et de goûter et de sentir au plus profond de leur ventre ce serpent effrayant et fascinant.
    
    Elle sera hantée désormais par le besoin commun à la gente féminine de toucher, de renifler, de chatouiller, de serrer pour mesurer la raideur, l’élasticité et la force de cette queue splendide. Elle ne connaîtra plus de paix avant d’avoir manipulé, trituré, reçu en bouche, en vagin et dans le cul cet écouvillon extraordinaire. Elle en rêvera, il le lui faudra. Je n’ai pas l’équivalent à offrir, je serai toujours moins imposant, moins efficace par conséquent et ...
«1...345...»