La fête à Milou
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
ffh,
frousses,
voisins,
copains,
boitenuit,
fête,
vengeance,
pénétratio,
Humour
Auteur: Tithon, Source: Revebebe
... fieffée allumeuse qui m’aime bien aussi sont au courant de toutes les histoires du pays, les salées et les sucrées, et y’a de quoi faire !
Alors Lili me raconte, et on se marre, la dernière, c’est que Julie, la femme de Robert des Merleaux, est enceinte, mais Robert lui il est parti depuis trois mois en Hollande, trafiquer des oignons de safran avec les ingénieurs de là-bas, il veulent avoir des fleurs avec cinq étamines plutôt que trois, alors il vont y rajouter du gène de caribou ou Dieu sait quoi, mais Julie elle fait de l’OGM local avec Jeannot le commis du boulanger, il est un peu métis du côté des îles, d’ici que le môme il sorte black, y’a pas loin. Pauvre Robert, aller courir le gène si loin !
J’ai rien contre les mélanges, et cette histoire est plutôt jolie par rapport aux crasses habituelles qu’ils se font dans le coin. Le grand André, le rebouteux local, il ferait des maléfices avec des poupées ! C’est les racontars à Lili. Elle aurait trouvé un matin un crapaud collé avec du scotch sur la porte de la perception ! Eh oui, va clouer un crapaud sur du verre !
Pendant que Lili babille, mes mains quittent la table et vont se promener du côté de sa culotte ou plutôt de la ficelle qui lui sert de sous-vêtement. Lili en perd ses histoires, ma main sur son minou lui raconte d’autres potins, ma bouche à son oreille lui parle de sous-bois frais, de bord de rivière au soleil de juillet, de caresses sur sa peau nue. Mes caresses se précisent, son sexe se mouille de ...
... plus en plus, sa bouche cherche la mienne, sa main cherche mon sexe, le libère de son emballage, et avec un grand soupir de plaisir elle se l’enfile au fond de son vagin. Je sens qu’on va encore péter une chaise. Comme la dernière fois ! La suite vous la connaissez, sinon, eh bien, imaginez !
Bon, mais ça c’était hier soir. Je sais jamais ce qu’elle a en tête, mais je suis jamais déçu alors je lui fais confiance, si elle dit que ça va fumer, ça va l’être, reste à savoir quoi.
La dernière fois, c’était la fête au village, il y avait une troupe de baladins branquignols, Lili me les a présentés comme des amis qui crachaient du feu et autres acrobaties, et pendant que les gens regardaient, ils tiraient les saucissons et les pots de pâté à l’étalage du charcutier. On les regardait faire avec Lili, puis le soir on s’est pointés à leur camion avec le pain et le vin, la fiesta a duré deux jours ! Les femmes qui accompagnaient les jongleurs avaient vraiment la santé ! Y’en a une qui était psychologue du côté d’un patelin là-haut vers le nord, mais pour chourer les œufs au cul des poules, chapeau ! L’autre, elle m’a dit qu’elle était mère au foyer, et le foyer ça elle savait le tisonner ! Ben c’est ça les copains à Lili, de l’imprévu de la surprise et toujours de la rigolade.
Je divague, je divague en remuant le foin des bêtes, je vais vous raconter la suite.
Vers neuf heures le lendemain soir, Lili vient me chercher, pomponnée, habillée, si peu ! En chemin elle me briefe sur ...