1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (52) : Agun mon amour, mon épouse.


    Datte: 27/01/2021, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... éternité.
    
    Les deux semaines qui suivirent furent à l’unisson, nous avons passé ces moments ensembles à nous aimer comme des folles.
    
    La séparation fut dure. Mais comme je lui avais promis, encouragée par Philippe, j’ai entrepris des démarches pour la faire revenir en France. J’y suis finalement parvenue au courant de l’année 2014, lui trouvant par la même occasion un emploi dans un salon de massage thaï.
    
    LE RETOUR D’AGUN
    
    Agun a vécu quelques temps chez nous où elle occupait le lit conjugal. Philippe a accepté de laisser cette place à Agun. J’ai fini par convaincre Agun qu’elle le laisse mater, sans participer, avant qu’elle n’accepte qu’il s’occupe de moi, mais sans la toucher elle. Philippe mérite cette récompense, il aime beaucoup me voir dans les bras de mon amante, même s’il préfère me voir prise par un mâle.
    
    C’est d’ailleurs à cette occasion qu’Agun est devenue la marraine de notre dernière-née, Sofia, l’enfant que j’avais conçu avec Philippe.
    
    Cette période a duré peu de temps, nous ne voulions pas courir le risque que les enfants, en particulier la plus grande, ne surprennent leur mère au lit avec marraine Agun. Nous avons donc fait le choix, lors de notre emménagement à notre nouveau domicile, de trouver à proximité un appartement pour Agun.
    
    Depuis nous formons elle et moi un couple lesbien, à côté de mon couple officiel avec Philippe. Il ne s’agit pas d’un trio. Nous ne vivons pas tous les trois sous le même toit, Philippe n’est pas l’amant ...
    ... d’Agun, même si j’ai voulu qu’elle connaisse avec lui le plaisir qu’apporte un homme. Elle l’a fait parce que je l’ai voulu.
    
    Pour la première fois dans mon couple avec Philippe, je n’étais pas jalouse de le voir avec une autre, au contraire, c’est moi qui lui offrais ma femme, je voulais que Philippe la prenne devant moi. J’étais présente, je la rassurais car je sentais qu’elle était inquiète, elle tremblait comme un oiseau, je lui tenais la main, je l’encourageais, l’embrassais, la caressais. C’est moi qui l’ai déshabillée et offerte, elle acceptait cela pour me montrer que je pouvais faire avec elle tout ce que je voulais. Philippe a été d’une infinie tendresse. Le mâle a fini par la déflorer, ma lesbienne n’a pas masqué sa jouissance, mais c’est moi qu’elle a embrassé et c’est à moi qu’elle a réservé ses mots d’amour.
    
    Nous avons poursuivi la soirée en nous occupant d’Agun, Philippe me faisant de petits signes discrets et complices pour me guider vers le deuxième sein, alors qu’il s’occupait du premier. Agun a à nouveau décollé avec nos caresses. Elle fut comblée et moi aussi.
    
    Philippe nous a laissé le temps de nous aimer à deux et de réveiller notre désir au contact des peaux. Lorsqu’il nous a rejointes, notre excitation était déjà bien avancée et je n’ai pas mis longtemps à lâcher un orgasme chantant. Lui en moi, mes doigts dans l’intimité d’Agun, remplie de la semence de mon mari.
    
    Cette nuit d’amour restera dans nos mémoires. Elle fut marquée par la lenteur, la ...
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