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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (52) : Agun mon amour, mon épouse.
Datte: 27/01/2021, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Olga T, Source: Hds
... sous-peser. Brusquement, je me levais, je voulais embrasser Agun. Nos yeux se fermèrent avant que nos têtes ne se rejoignent. Nos lèvres se touchèrent puis nos bouches s’ouvrirent simultanément. Rien ne comptait plus que nos langues chaudes et suaves qui se mélangeaient avec une tendresse infinie. J’aurais voulu que ce baiser soit éternel. Agun continua d’explorer avec sa main ma poitrine. Elle franchit une étape supplémentaire en plaçant sa main sur mon ventre. Je murmurais des paroles d’amour pour encourager ma compagne. Je cessais de l’embrasser pour frotter ma tête contre celle d’Agun et me laisser aller à de profonds gémissements. Je suçais le lobe de l’oreille de mon amante. Agun perçut ainsi très bien mon désir au moment où mon vagin fut bouché par le majeur qui se plaça au milieu de mon ouverture glissante. Elle remonta puis descendit ce doigt expert, qui s’introduisit avec une facilité déconcertante dans le con. Un deuxième doigt accompagna le premier sans problème. L’envie démente de se faire baiser là, tout de suite, devint obsessionnelle. Je remuais mon cul pour faire coulisser les doigts à l’intérieur de ma chatte. Agun sortit ses doigts pour tâter l’anus, déjà lubrifié par la cyprine. Agun s’agenouilla entre mes jambes. Les replia. Je soulevais mes reins à mon tour pour laisser à mon cul une ouverture maximale. Agun planta directement sa langue dans l’anneau serré. Sa tête se redressa, la langue sortie et tendue. Elle repassa plusieurs fois le long ...
... de mon anus, immobilisa son petit organe pour s’enfoncer superficiellement dans ce trou fondant et odorant. Puis, Agun remonta le long du périnée avant de venir s’étendre dans ce désordre de chair palpitant de désir. Un magma dégoulinant dans lequel elle posa sa bouche et la pointe de son nez. Elle lapa les parois recouvertes du film d’amour puis embrassa cette deuxième bouche, aspirant la matière dans une tentative quasi désespérée d’avaler ce corps tout entier. Avec l’un de ses doigts, elle mit en évidence le clitoris et y déposa une larme de salive du bout des lèvres pour le mélanger à ce foutre féminin. Elle lécha le tout avec une délectation évidente. Son autre main lui permit de masser en même temps cet anus qu’elle n’avait jamais oublié. Un doigt s’inséra dans l’étroit conduit sans difficulté. Puis se retira. S’inséra à nouveau. Se retira. S’inséra... Mon corps se tendit violemment, traversé par une onde de plaisir qui se propagea dans mon corps avec une puissance extraordinaire. Un orgasme d’une dimension inespérée, d’une pureté presque insupportable. Agun passa entre ses jambes et vint écraser ses lèvres contre les miennes. Nos langues se mélangèrent à nouveau, elles se barbouillèrent avec le nectar qu’Agun était allée butiner. Je retrouvais le goût amer de mes secrétions dans sa bouche, idée qui s’évapora tant le besoin d’embrasser, de remercier ma maîtresse me parut supérieur. Nous restâmes scotchées l’une à l’autre pendant quelques minutes qui semblèrent une ...