1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (52) : Agun mon amour, mon épouse.


    Datte: 27/01/2021, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... Elle n’avait pas changé, comme si je l’avais quitté hier. Elle était habillée très simplement, avec un short court et un teeshirt échancré.
    
    Nous nous sommes précipitées dans les bras l’une de l’autre. Nous n’hésitâmes pas un instant, nous jetant dans les bras l’une de l’autre. Les mains d’Agun sur mes fesses, ses lèvres prenant possession des miennes. Notre baiser fut interminable, à perdre le souffle.
    
    J’oubliais la fatigue du voyage. Nous avions l’une et l’autre le même désir.
    
    • Oh Olga, oh mon amour, dis-moi que je rêve. Tu es là. Neuf ans que j’attendais ça.
    
    • Je suis là pour toi, je suis à toi, Agun. Je t’aime.
    
    • Tu sais Olga, ma chérie, pendant toutes ces années, personne ne m’a touchée, je me suis contentée de me caresser en pensant à toi.
    
    • Tu as envie de moi ?
    
    • J’en meure d’envie, j’ai tant pensé à toi. Mais tu dois être morte de fatigue.
    
    • Je me reposerai après que nous ayons fait l’amour.
    
    • Alors, je connais, pas loin d’ici une plage tranquille où nous pourrons faire l’amour, où nous ne serons pas dérangées par les touristes. Je fais déposer ton bagage chez moi et nous y allons directement.
    
    Nous sommes montées sur son scooter. J’étais derrière elle, je me blottissais contre elle, par sécurité, mais surtout pour sentir son odeur, l’embrasser dans le cou.
    
    Mes mains étaient baladeuses, l’une sous le tee-shirt pour caresser ses seins, l’autre sous le short, où je constatais avec plaisir que mon amante n’avait pas de culotte.
    
    • ...
    ... Doucement chérie, tu vas me faire perdre le contrôle du scooter ! Patience !
    
    Arrivées à la crique dont elle m’avait parlé, Agun me prit par la main.
    
    • Tu dois faire attention au soleil. A cette heure, bronzer sans crème est très mauvais pour la peau. Tu as de quoi de protéger ? demanda-t-elle avec de lourds sous-entendus et un sourire charmant.
    
    • Non je n’ai rien avec moi.
    
    • Eh bien, j’ai de quoi faire. Attends, je ramène ma serviette ici comme cela nous serons plus à l’aise.
    
    Agun avait toujours une voix très agréable, douce. Agun fit deux pas en arrière vers sa serviette. De dos, elle était presque davantage désirable avec ses épaules fines et des omoplates légèrement décollées. Une cambrure des reins sans excès de vulgarité. Et une paire de fesses ovales de toute beauté.
    
    • Allonge-toi bien et détends-toi, ordonna Agun. Mets-toi nue chérie.
    
    J’obéis. Agun pulvérisa la crème juste au-dessus de mes seins. Elle posa le flacon et répartit la masse blanche sur les épaules, le cou. Mon souffle s’accéléra, j’ouvris la bouche pour laisser une plus grande quantité d’air infiltrer mes poumons.
    
    Agun descendit délicatement la main puis laissa juste un doigt remonter le long du sein de celle qu’elle désirait tant. Avant même d’en atteindre le sommet, le téton se contracta. Agun tourna son doigt plusieurs fois autour de la petite pyramide de chair.
    
    Je commençais à mouiller abondamment. Agun caressa le dessous de mon sein puis le saisit à pleine main, comme pour le ...
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