1. Une rencontre singulière


    Datte: 02/05/2018, Catégories: fh, jeunes, hépilé, fépilée, hsoumis, fdomine, cérébral, pied, rasage, Oral nopéné, hdanus, hgode, sm, fouetfesse, init, hsoumisaf, Auteur: Anacréon, Source: Revebebe

    ... pauvre petit esclave, tu n’as rien à craindre de moi. Je ne t’obligerai jamais à rien de plus que tu ne veuilles faire. Nous sommes libres tous les deux. Avec moi, pas de chaînes, pas de cuir, pas de fouets et surtout pas de toutes ces coutumes vulgaires qui donnent une image si détestable d’un art d’aimer qui autrement serait sublime. La soumission ne vaut rien lorsqu’il y a contrainte. Maintenant, je ne t’oblige à rien mais je voudrais savoir si tu es prêt pour la leçon numéro 4. Dans le cas contraire, je ne t’en voudrai pas.
    
    Après ces paroles, elle sort les mains de derrière son dos. Dans la main gauche, un petit sextoy de couleur blanche. Dans l’autre, un objet énorme, du moins énorme à mes yeux, imitant à merveille la forme, la couleur et la texture d’un sexe masculin.
    
    — Tu veux bien que j’essaie ? me demande-t-elle.
    — Oui, Maîtresse, lui réponds-je.
    
    Elle se place donc derrière moi, qui suis toujours en position de soumission (je commence à comprendre pourquoi on l’appelle comme cela), et je sens qu’elle badigeonne le pourtour de mon anus d’un liquide lubrifiant. Puis elle introduit son index en moi et je frémis de plaisir.
    
    — Ça, c’est le petit, me dit-elle tandis que je sens un objet dur rentrer entre mes fesses.
    
    Je me cabre et je courbe encore plus les hanches, gémissant de désir inassouvi. Adélaïde enfonce l’objet de plus en plus profondément en moi. Je pousse de petits couinements de plaisir tandis qu’elle commence à aller et venir en moi. Puis ...
    ... enfin, elle retire l’objet, me laissant insatisfait.
    
    — Maintenant, le gros, me dit-elle. Je sens que tu es prêt pour l’étape supérieure. Penche-toi plus et détends-toi.
    
    Je ne dis rien. Elle ajoute une couche de lubrifiant et je courbe davantage encore le dos. Cette fois, je sens l’objet avec plus d’acuité ; il dilate vraiment mon intérieur, mes gémissements de plaisir se font de plus en plus graves. Je ne me sens plus, je crie.
    
    — Oui, oui, encore, encore ! je m’exclame. Prenez-moi, Maîtresse, prenez-moi !
    — Tu aimes te faire prendre par ta Maîtresse ?
    — Oui, Maîtresse, oui, j’aime que vous me preniez !
    
    Ses mouvements de va-et-vient se font de plus en plus frénétiques, mes râles toujours plus profonds. Puis elle se retire.
    
    — Viens, me dit-elle.
    
    Elle est assise en tailleur par terre. Je blottis ma tête entre ses genoux, je me couche en boule par terre devant elle, heureux.
    
    — Maîtresse ? dis-je d’un ton implorant.
    — Oui ?
    — Puis-je embrasser votre sexe ?
    — Oui.
    
    Je tourne la tête, puis j’embrasse son vagin avec tendresse et dévotion. Je n’ose pas aller plus loin. Elle me demande de me lever puis elle s’assied sur son fauteuil, les jambes écartées.
    
    — Viens, me dit-elle encore.
    
    Je m’approche, à quatre pattes. Puis je pose mes lèvres sur son sexe, j’écarte ses grandes lèvres et je commence à lécher tout le pourtour des petites lèvres avant de plonger ma langue à l’intérieur du vagin. Ensuite, je prends son clitoris entre mes lèvres, je le suce, je ...