1. Ayaka


    Datte: 24/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: LVolante, Source: Hds

    ... belle pour me livrer sur elle à d’autres amusements dont toute innocence est bannie. La résistance qu’elle m’oppose est plutôt symbolique : elle ne se laisse pas tout à fait dicter sa conduite et, elle désire que je le sache. Je prends note du message mais je n’en fais pas moins ce que je veux. Après l’avoir retournée, je m’allonge sur elle, mon sexe s’insère parfaitement dans la raie de ses fesses. Elle reste immobile et silencieuse, elle attend la suite et, peut-être, tout comme moi, s’interroge-t-elle sur ce qu’elle va être ? J’avoue être très hésitant. Parce que ce corps, nu, m’inspire des centaines de désirs complémentaires ou contradictoires. Sans doute s’attend-elle, à ce que je la sodomise. C’est en tout cas l’impression qu’elle me donne en tortillant, sous ma bite érigée, son petit cul irrésistible. J’en partage l’envie et pourtant je ne passe pas à l’action. Je la laisse attendre ou espérer tandis qu’elle se dandine. Elle me masse la queue avec un savoir-faire que je ne soupçonnais pas.
    
    Je profite longtemps. Trop longtemps. Et à force de profiter je sens que la dame se lasse. Il est donc temps que je me remette à l’œuvre. Ce sont mes mains qui travaillent en premier. J’ai décidé de la surprendre en la massant à mon tour, d’une façon beaucoup moins explicite. J’attrape ses épaules et je les fais rouler vigoureusement. Sa peau, sous mes doigts se réchauffe. Je descends d’un cran, puis d’un autre, je remonte pour vérifier que sa température ne baisse pas trop, je ...
    ... retourne à ses hanches, je glisse jusqu’à ses cuisses… Bref, je la cajole et la protège bien plus que je ne devrais. Au final, d’ailleurs, je l’enroule dans l’imper pour qu’elle y soit définitivement à l’abri du froid. J’en éprouve une satisfaction dont j’ignorais être capable. Je ne suis pas du genre protecteur, je suis même plutôt le contraire. Je suis de ceux qui mettent leur compagne sur le fil du rasoir. Pourquoi pas aujourd’hui ? Impossible de répondre à cette question. Un excès d’eau… peut-être… Force m’est de constater que ma technique est la bonne puisque la belle s’endort.
    
    Tout doucement, du moins aussi doucement que j’en suis capable, je m’allonge à ses côtés et je l’étreins pour la maintenir au chaud. Il sera bien temps de la réveiller quand cessera la pluie…
    
    La pluie s’éteint sur le toit du chalet. La récréation est finie. Il est temps d’attraper mon talkie et de prévenir que je vais rentrer en compagnie des joueuses perdues. C’est avec d’infinies précautions que je réveille la grisette. Je lui murmure quelques mots à l’oreille et elle sort des limbes, un peu comme Vénus sort de son bain dans le tableau de je-ne-sais-plus-qui, avec langueur.
    
    Tandis qu’elle dormait, j’ai pris la précaution de mettre nos vêtements au chaud entre nous deux. Ainsi, elle peut enfiler les siens sans que le froid la gagne instantanément. Elle me sourit, un peu gênée. Curieux ! Après tout, nous n’avons fait que des choses, somme toute assez banales, elle n’a pas à en avoir honte. ...
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