1. Quiproquo


    Datte: 20/01/2021, Catégories: fh, inconnu, grosseins, essayage, intermast, Oral fist, fdanus, fsodo, hdanus, Auteur: GillesP, Source: Revebebe

    ... d’une part et celui d’avoir cassé quelque chose dans mon couple et dans ma vie professionnelle.
    
    J’avais vécu une overdose de sexe pendant six mois, j’avais fait l’amour deux à trois fois par jour avec des crises d’angoisse qui me prenaient au fond des tripes. Face à un certain sentiment de dégoût, je sentais progressivement mon ventre se détendre, mon esprit se libérer, je me sentais léger, plus aucune chape de plomb sur les épaules. Je me souviens avoir pensé qu’il me faudrait calmer un peu le jeu côté sexe, mais, alors que je marchais dans la rue, sans aucune cause d’excitation possible, sans que je ne croisasse aucune engeance féminine, sans que la moindre affiche publicitaire aguicheuse ne puisse en être la cause, je sentis mon sexe durcir de façon progressive mais de plus en plus franche. Au début, je me suis amusé de ma réaction en me disant que ma libido qui avait été surentraînée pendant toute cette période se trouvait libérée d’un poids et que j’allais pouvoir continuer mes activités sexuelles de plus belle, avec cette fois-ci le coeur léger. Mais plus je marchais, plus mon érection devenait proéminente. J’étais pris d’une envie de courir comme je jour où j’avais décroché mon baccalauréat contre toute attente et que j’ai couru annoncer la nouvelle à ma mère. J’avais envie de courir pour annoncer à ma femme que j’étais vivant. J’avais visiblement envie de faire l’amour sans mon épée de Damoclès. J’avais de plus en plus envie de faire l’amour. Je sentais tous mes ...
    ... organes se libérer, tout mon corps militer pour un accouplement immédiat.
    
    L’envie de courir se transformait maintenant en envie de baiser. Je portais ce jour-là une chemise en lin et un léger pantalon de toile beige. J’avais opté le matin en m’habillant pour un caleçon tout aussi léger, en coton blanc qui n’avait aucune fonction de maintien. Mon sexe, qui sans être un spécimen digne du livre des records est de bonne mesure, était dès lors tendu à l’extrême. Les tissus, frottant dessus au rythme de ma démarche, le rendaient hyper sensible et le durcissaient de plus belle. La situation, qui au début m’amusait, devenait gênante, les poches de mon pantalon étant bien trop petites pour que je pusse enfouir mes mains à l’intérieur. Bref, je ne pouvais pas en masquer la protubérance. Ma chemise en lin était trop courte pour cacher quoi que ce fût. Je ne pouvais pas marcher comme un gorille les deux mains devant le sexe. Il me fallait faire quelque chose pour me sortir de cette situation grotesque. Je sentais mon coeur s’accélérer, les veines de mon sexe se gonfler encore et encore. L’objet de mes plaisirs arrivait presque à me faire mal.
    
    Le regard d’une femme que je vins à croiser se posa sur la bosse que je n’arrivais pas à contraindre, je lus dans ses yeux toute la réprobation de la bonne mère de famille choquée à la vue d’un homme à l’arrogante bandaison. Il fallait que je soustraie ce sexe à la vue des passants, ce sexe qui déformait maintenant mon pantalon de façon si ...
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