1. Quiproquo


    Datte: 20/01/2021, Catégories: fh, inconnu, grosseins, essayage, intermast, Oral fist, fdanus, fsodo, hdanus, Auteur: GillesP, Source: Revebebe

    ... flagrante. Je me trouvais à la station de métro de la porte de Saint-Ouen et m’engouffrais dans les escaliers, puis profitais du premier plan de métro venu pour le scruter, me tenant face au mur, cachant ainsi au public l’objet de mon embarras. Rassuré d’avoir trouvé un poste de repos, j’attendis que ma dure extrémité se ramollisse. J’ai attendu comme ça, comme un con, face à un plan de métro. J’ai attendu, faisant mine de chercher une hypothétique station de métro. J’ai attendu l’accalmie. J’ai attendu, attendu, elle n’est jamais venue.
    
    Le pauvre cerf, traqué par la foule, réfléchissait à une situation de retraite possible. Deux idées me passèrent d’abord par la tête : prendre le métro ou remonter pour m’asseoir à la table d’un bistro. Sous la table, mon embarras serait camouflé. Si je trouvais une place assise dans le métro tout irait bien, s’il me fallait voyager debout, sans assez de monde autour, je serais prisonnier du regard des gens. Une idée m’effleura l’esprit, si le métro était bondé, je pourrais me frotter contre la première fesse féminine venue. Et si je prenais une paire de claque ? L’autre idée paraissait plus simple, celle du bar : je pouvais même aller dans les toilettes du café afin de me masturber et évacuer ainsi le problème. Une autre idée vint enfin concurrencer les deux premières : je pouvais marcher fièrement dans la rue, arborant ma rotondité le plus naturellement du monde. Ne voit-on pas fréquemment des femmes déambuler avec le bout des tétons ...
    ... dressés ? Elles doivent éprouver une certaine gêne à la vue des hommes qui les croisent… Mais que suis-je en train de gamberger pour une banale érection, certes imposante mais somme toute assez banale. Allez mon gars on affronte ! On y va ! La vie est belle.
    
    J’ai alors regardé ma montre, je me souviens très bien il était douze heures quarante. J’ai décidé de marcher dans la rue de façon décontractée sans artifice, le sexe gonflé, profitant du plaisir d’être toujours d’active sur cette bonne vieille terre. J’ai croisé un type d’une vingtaine d’années, il n’a rien remarqué, puis une dame âgée qui marchait courbée avec une canne. La vieille décrépite accéléra son pas hors d’atteinte du singe en rut. J’ai ensuite croisé une femme d’une trentaine d’année qui a remarqué la bosse et a emboîté le pas à la première, comme si j’allais la violer sur le champ, alors que cette femme n’était, vous le savez, aucunement responsable de mon état. C’est terrible les femmes de trente ans, elles n’ont plus la fougue de leur vingt ans et elles n’ont pas encore l’aisance des femmes plus mûres.
    
    Plus loin, j’ai croisé un groupe de jeunes mecs. J’ai entendu un « putain la gaule ». Je marchais, sentant le tissu de mon pantalon caresser de façon omniprésente ma pauvre verge en feu.
    
    Puis, j’ai vu une femme arriver, elle marchait d’un pas nonchalant. Elle portait un jean taille basse et un petit haut moulant bleu marine en laine sans manche. Son haut de laine moulait des seins qui semblaient ...
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