Amandine - Histoires de Sexe

Amandine

... restons un grand moment ainsi puis, mutine et espiègle, elle me susurre dans l’oreille :

— J’ai oublié de mettre une culotte.

Ce que je peux vérifier de suite en passant mes mains sous sa robe. Je suis choqué tout en étant heureux de malaxer ses fesses avec mes mains, certains de mes doigts allant à la découverte de ses grandes lèvres.

— Amandine, tu exagères, cela ne se fait pas ; tu ne peux pas faire n’importe quoi devant les autres.
— C’est un moyen comme un autre d’éviter que tu critiques la couleur et la forme de ma culotte.

Puis, elle met un doigt sur sa bouche pour m’intimer l’ordre de me taire et me fait boire un peu de vin. Je garde mes mains sur ses fesses et ses cuisses, mes doigts se perdant dans son intimité ; elle me faisait boire en alternance avec ses lampées. Nous sommes en phase tous les deux, yeux dans les yeux. J’ai, cependant, un peu peur qu’elle ne se mette à ahaner sous mes caresses de plus en plus intimes, mes doigts sont de plus en plus voyageurs.

— Allons, à table !

Sa mère nous rappelait à la réalité ; Amandine, quitte mes genoux et court jusqu’à sa chambre pour mettre une culotte et, quand sa mère arrive avec l’entrée, elle est redevenue une petite fille sage, assise bien droite sur sa chaise.

Le repas allait se passer au mieux ; je suis à côté d’Amandine et nos pieds n’ont de cesse que de se toucher l’un l’autre. Sa mère ne semble pas s’apercevoir de notre connivence.

J’ai tout faux et je m’en aperçois au moment où nous ...

... desservons la table. J’emmène les derniers verres à la cuisine alors que Sylvie commence à faire le café.

— Alors, Mathieu, on fait des cachotteries ? On ne sait pas si Amandine est amoureuse. Pourtant vous êtes le premier concerné…

Je ne sais que répondre, je dois rougir.

— Ce n’est pas tous les jours qu’une fille s’installe à califourchon sur les genoux d’un ami sans être un peu amoureuse de lui, surtout quand ils boivent au même verre et que l’ami cache ses mains sous la robe de la fille.

Je suis très mal à l’aise ; Sylvie nous avait vus de la cuisine et s’était montrée des plus discrète ; elle me regarde avec sévérité toute en souriant.

— Je pensais que c’était à Amandine de vous dire la transformation de nos liens entre nous.
— Non, elle ne m’en a pas parlé ; peut-être est-ce trop neuf pour elle. Je sais, cependant, que c’est elle qui m’a poussée à vous inviter aujourd’hui. Peut-être que ce soir elle me parlera ? Est-ce sérieux, Mathieu ? Ou est-ce que, pour vous, c’est une aventure comme une autre. Amandine semble vous adorer et je ne souhaiterais pas que vous ne soyez pas sur la même longueur d’onde. Au même âge qu’elle, j’ai eu une aventure qui, finalement, s’est mal terminée ; je ne voudrais pas qu’elle vive la même désillusion.
— Je sais que je connais encore peu Amandine. J’adore quand mes yeux se perdent dans les siens… Je pense que je l’aime mais c’est un sentiment encore trop nouveau pour moi pour pouvoir l’analyser. Je sais qu’il va y avoir des ...