1. Amours maudites


    Datte: 17/01/2021, Catégories: f, h, fh, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, soubrette, jalousie, massage, Oral pénétratio, initff, fsoumisaf, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... lui appliquait les onguents et la frictionnait longuement. Marie revêtait ensuite son vêtement de nuit et s’asseyait à la coiffeuse. La camériste lui dénouait les cheveux et les peignait avec patience. Tous les soirs, cet immuable programme durait près d’une heure. La maîtresse en profitait pour pérorer, la servante restait plus silencieuse. Marie, très satisfaite de sa chambrière, la trouvait très docile et prompte à l’apprentissage.
    
    Ce soir, comme d’habitude, Marie s’allongea nue sur le lit, mais cette fois à plat ventre.
    
    — Il faut que tu me masses les fesses avec un baume apaisant, ce soir. Tu dois te surpasser sinon je ne vais pas fermer l’œil de la nuit.
    
    Bette regardait les fesses endolories de sa patronne. Elle y voyait à de multiples endroits la paume et les cinq doigts de Raoul. Elle n’aurait su expliquer pourquoi, mais un picotement s’empara de son bas-ventre. Elle massait patiemment le postérieur rougi, mais n’arrivait pas à quitter des yeux ces marques digitales. Marie savourait le moment, elle tourna la tête sur le côté, les paupières closes et un sourire de contentement sur les lèvres. Bette massait consciencieusement, mais son cerveau entrait en ébullition. Elle commençait à avoir très chaud, sa vue se troublait. Elle n’aurait su en expliquer le pourquoi ; à un moment son majeur suivit la raie fessière à la recherche de la vulve de sa maîtresse et la trouva. La réaction ne se fit pas attendre. Marie se redressa promptement, prit appui sur un de ses ...
    ... coudes pour pivoter à demi son torse. Elle fusilla Bette du regard. Celle-ci s’éloigna du lit, dégrisée et penaude, fixant le sol.
    
    — Pardon Madame, dit-elle au comble de la confusion.
    
    La maîtresse ne dit rien immédiatement. Plus surprise que fâchée, son regard s’apaisa. Elle considéra sa servante d’abord interrogative, puis intéressée. Pour les personnes de son rang, la transparence du personnel de service était notoire. Elle découvrait soudain une jeune femme, belle, svelte et désirable. Elle ouvrit le compas de ses jambes et reposa sa tête sur le lit. Dans un souffle elle dit :
    
    — Continue.
    
    Bette, toujours prostrée, regardait sa maîtresse sans comprendre. Elle n’osait plus bouger. Marie rouvrit un œil et lui dit avec un sourire :
    
    — Je t’ai dit de continuer, bécasse, alors fais-le !
    
    La masseuse reprit son ouvrage. Elle continuait à malaxer les fesses endolories et à étaler les huiles. Cela dura quelques minutes, mais Marie en voulait plus. D’un geste prompt elle saisit le poignet de Bette et dirigea sa main vers son sexe. Le doigt délictuel retrouva sa position. La vulve de Marie étant demandeuse, le majeur de la servante s’y introduisit sans coup férir. Marie poussa un râle à cette intromission et sa pression sur le bras de la camériste se fit plus forte.
    
    Bette, du doigt, retrouvait le mélange des humeurs féminines et des semences masculines. L’étau que sa maîtresse ne cessait de resserrer jusqu’à l’en faire souffrir n’empêchait pas le mouvement de ce majeur ...
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