1. Amours maudites


    Datte: 17/01/2021, Catégories: f, h, fh, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, soubrette, jalousie, massage, Oral pénétratio, initff, fsoumisaf, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... suinter d’une semence qui n’était pas la sienne. Raoul, en jeune homme dans toute la vigueur de son âge, rejoignait deux fois par semaine une jeune femme connue aussi bien pour ses mœurs légères que pour sa vénalité. Cela le contentait. Ces jours-là, Bette le réveillait vers quatre heures et il partait rapidement ne rentrant que pour le dîner.
    
    Le repas se prenait tous les soirs à la grande table de la salle à manger. Bette en assurait le service aux côtés des maîtres qui restaient particulièrement silencieux. Ce soir-là, Marie, en se levant de table, lui dit :
    
    — Bette, tu serviras le café au salon.
    — Oui, Madame, dit-elle en retournant à l’office.
    
    Raoul se leva aussi de table. Marie se dirigea vers lui avec un sourire enjôleur.
    
    — Me rejoindrez-vous dans ma chambre, ce soir ?
    — Non, répondit sèchement Raoul.
    
    Le regard de Marie se fit dur. Elle s’avança vers lui à le frôler. D’un geste vif, elle empoigna son entrejambe et serra fortement.
    
    — Vous n’êtes donc plus un homme ? l’insulta-t-elle.
    
    Sous la douleur, Raoul fit un bond en arrière, puis gifla Marie à toute volée.
    
    — Vous n’êtes qu’une catin ! éructa-t-il.
    
    La femme frotta sa joue endolorie. Son regard durcit encore et son sourire devint narquois.
    
    — Eh bien, baisez-moi comme une catin, alors !
    
    Elle se rapprocha de l’homme, maintenant bloqué par l’indignité de son geste, effleura son sexe, puis se retourna et s’étendit à demi sur la table. Lentement elle releva sa jupe, puis descendit sa ...
    ... culotte. Elle offrait à la vue de son mari ses fesses nues.
    
    Raoul ne pouvait détacher ses yeux de cette fente qu’il s’était juré d’ignorer, mais la situation, par-devers lui, faisait affluer son sang. Une rage le prit et il souffleta violemment ce postérieur offert puis se débraguetta et pénétra durement son épouse. Il accomplit cela comme un soudard, à grands coups de boutoirs, et continua à la fesser. Il voulait lui faire mal comme elle-même le lui avait fait.
    
    Marie, tellement sûre d’avoir gagné, d’avoir reconquis son mari et convaincue que maintenant, elle pourrait reprendre l’initiative, affichait un grand sourire de satisfaction. Son intimité pénétrée violemment, ses cuisses endolories par le rebord de la table et ses fesses qui la brûlaient ne lui donnaient que plus de plaisir. Elle sentit les spasmes et les soubresauts de son mâle. Il éjaculait en elle. Elle ferma les yeux pour savourer le moment et quand elle les rouvrit, elle vit Bette sur le pas de porte avec son plateau et les cafés ; le regard rivé par le spectacle, elle restait tétanisée, effarée. Raoul se rajusta et quitta la pièce précipitamment. Marie remonta calmement sa culotte et lissa sa jupe. En passant devant Bette, elle lui dit :
    
    — Monsieur ne veut plus de café, tu viens dans ma chambre pour ma toilette.
    — Oui, Madame, lui répondit-elle.
    
    Chaque soir, le même rituel, Bette déshabillait sa maîtresse et rangeait soigneusement tous les vêtements. Ensuite Marie s’allongeait nue sur le lit et elle ...
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