1. Amours maudites


    Datte: 17/01/2021, Catégories: f, h, fh, ff, ffh, extracon, fsoumise, fdomine, soubrette, jalousie, massage, Oral pénétratio, initff, fsoumisaf, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... sourire carnassier. Doucement, elle laissa retomber ses bras et négligeant ses vestiges de pudeur, se révéla à lui. Elle se rapprocha du mari sans que l’épouse ne le remarque, la tête tournée de l’autre côté, celle-ci manifestait son plaisir. La chambrière bomba le torse et présenta ses appas au mâle. Celui-ci, sans ralentir son rythme commença à les caresser, les triturer, à agacer les tétons. Son sourire se fit plus doux, plus engageant. Au moment où il emplit le vagin de sa femme de sa semence, il ferma les yeux et pinça fortement le sein de Bette. Elle en conçut un plaisir similaire à celui de la partenaire, mais se retira prestement. Raoul remit son peignoir et sortit sans dire un mot.
    
    La camériste se précipita vers ce sexe encore béant et mit une telle fougue à son ouvrage que Marie en hurla son contentement.
    
    Le lendemain matin, Raoul se fit servir son petit déjeuner à sept heures. Il observait la servante qui œuvrait dans la salle. Son repas fini, il se leva de sa chaise, voulut sortir de la pièce, mais se ravisa, et sur le pas de la porte, se retourna. Il voyait Bette de dos qui s’affairait à débarrasser la table. Une fois toute la vaisselle sur son plateau, elle voulut elle aussi sortir et regagner l’office. Il lui barra le passage, lui prit le plateau des mains et le reposa sur la table.
    
    Bette s’imaginait déjà ce qui allait advenir. Il la coucherait sur cette table et la pénétrerait durement comme les autres hommes. Il revenait et elle baissa les yeux, ...
    ... disciplinée et obéissante. Il la prit par la taille et l’amena contre lui. Une main souleva son menton, les visages se rapprochèrent puis les lèvres se soudèrent. La main de l’homme parcourait son corps et sa langue explorait sa bouche. Elle se sentit faiblir, elle aurait voulu que ce moment dure une éternité, mais déjà, les corps se séparèrent. Il lui fit un sourire et quitta la pièce. Elle restait là, adossée à un mur, haletante et frustrée.
    
    La journée s’écoula, morne, comme toujours. Après la toilette vespérale de madame, Bette se retrouva dans le couloir et sans s’en rendre compte, se dirigea vers la porte du maître de maison, elle avait déjà la main sur la poignée de la porte, mais se ravisa et s’enfuit vers sa chambre. Ses rêves furent peuplés de toutes les visions érotiques que sa maîtresse lui imposait au cours de ses ébats avec son mari. Au petit matin, épuisée, elle se leva tout de même pour prendre son service.
    
    Raoul se faisait servir son petit déjeuner par Bette. Il la contemplait et lui trouvait quelque chose de changé. Il comprit en l’examinant à nouveau, elle ne baissait plus les yeux comme à son habitude. Son regard, même arrogant, le toisait. Appuyée, de la cuisse contre la table à deux mètres de lui, elle pivota d’un quart de tour vers ce plateau, releva le bas de sa robe à la taille et descendit sa culotte. Des coudes, elle prit appui sur cet autel et le toisa droit dans les yeux. Il se leva et se dirigea vers elle.
    
    Quand elle le vit se lever, Bette ...
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