Amours maudites
Datte: 17/01/2021,
Catégories:
f,
h,
fh,
ff,
ffh,
extracon,
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
jalousie,
massage,
Oral
pénétratio,
initff,
fsoumisaf,
Auteur: Charlie67, Source: Revebebe
... plusieurs fois à ses amants et cela avait décuplé son plaisir. Elle sentit une présence, se rappela de sa camériste et, sans tourner la tête elle lui dit :
— Viens !
Bette comprit le pourquoi de sa présence dans cette chambre. Elle s’avança vers le lit et se pencha sur l’orifice encore béant de la récente pénétration. Elle lapa, suça puis but à cette source de vie. Le goût de mâle encore persistant déclencha de violentes secousses dans son sexe. La maîtresse se perdit à nouveau dans un long orgasme qui la cabra puis elle retomba sur le lit épuisée, épuisée, mais comblée.
Raoul, de retour dans sa chambre, s’assit sur son lit et resta pensif. Il se rendait compte qu’il n’aimait pas sa femme, qu’il l’abhorrait, même. Comment avait-il pu lui faire l’amour ? Il se souvint du visage de Bette. Il s’étendit sur le lit, ouvrit son peignoir et commença à se caresser en pensant à elle.
Bette, une fois son ouvrage terminé, fut bien sûr congédiée. Elle s’arrêta dans le couloir en proie à un grand trouble intérieur. Elle repensait à cette scène où le couple de ses maîtres faisait l’amour. Elle n’en concevait aucune jalousie, mais un grand mal-être, un manque, une envie.
La vie au château, monotone, ennuyait Marie, habituée à une vie mondaine soutenue. Le seul exutoire à cet ennui : la permanence des pratiques saphiques qu’elle avait avec Bette, se révéla comme un soleil dans cette sombre bâtisse. Après quelques semaines, la maîtresse devint plus exigeante et Bette ...
... pratiquait nue, la toilette de sa maîtresse. Que ce soit le matin ou le soir, cela se terminait inexorablement en une danse où ces corps féminins se sublimaient. Selon la hiérarchie de mise entre elles, le corps, la langue ou les mains de la servante voltigeaient sur celui de la châtelaine, dédiés à son plaisir exclusif.
Celle-ci avait rétabli les habitudes des mercredis soirs où elle recevait son mari pour les obligations conjugales. Ce mercredi-là, Raoul vint un peu plus tôt frapper à la porte de son épouse. Les femmes nues étaient en train de se prodiguer des plaisirs que Sapho n’aurait pas reniés. Ceci toujours au bénéfice particulier de la maîtresse des lieux. Bien sûr, pas gênée, elle invita son époux à entrer dans sa chambre.
Raoul, à son entrée, vit les deux femmes nues. La sienne, s’élança vers lui et vint se serrer contre sa poitrine, mais il n’avait d’yeux que pour l’autre, la servante, la moins que rien. D’un bras, elle masquait sa poitrine et de l’autre main elle cachait son sexe. Elle avait un air contrit qui contrastait avec l’exubérance et l’impudeur de sa moitié.
Bette, mortifiée, allait revivre pour la énième fois la copulation de ses maîtres et cette fois en exposant son corps nu aux regards de l’époux. Elle fut surprise par la poigne de l’homme. Il amena son épouse sur le lit et la mit en position de levrette et, sans autre forme de procès, il la pénétra durement.
Bette regardait Raoul dans les yeux. Ils étaient accrochés, rivés. Il arborait un petit ...