1. La grande désillusion - Première Epoque


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, groscul, poilu(e)s, campagne, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme entreseins, Oral préservati, pénétratio, portrait, fsodo, uro, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... d’humeur à faire une petite gâterie à la future grand-mère… La grande dame maigre, manifestement plus que complice, avait écarté légèrement ses longues jambes et se laissait caresser la foufoune sans protester. Elle jeta juste un regard paniqué à son bienfaiteur quand son mari, en retard, pénétra dans le restaurant et s’installa en face d’elle.
    
    ---oooOooo---
    
    La nuit était noire et étoilée quand Monique me laissa pénétrer en premier dans son pavillon : aux infos de l’autoradio, on avait appris que des détenus s’étaient fait la belle dans la région, et Monique n’était pas vraiment rassurée. Sans me demander mon avis, elle me versa un verre de liqueur de framboises maison, en m’invitant à admirer ses orchidées pendant qu’elle s’absentait quelques minutes. Elle insista aussi pour que je lise un article qu’elle avait découpé dans une revue médicale. Il devait se trouver sur la table de la véranda, à côté des pots de gelée de pommes maison.
    
    La véranda était une véritable serre regorgeant de plantes vertes avec un espace consacré uniquement à sa fleur favorite (dont je me foutais royalement d’ailleurs). L’article, posé sur une pile de revues médicales, datait de trois ans. Il évoquait une étude statistique suédoise sur le cancer chez les seniors. Il y était affirmé que la fréquence du cancer du sein, des ovaires ou des testicules était trois fois moins élevée chez les personnes âgées ayant des relations sexuelles régulières que chez les autres.
    
    Je ne me sentis pas du ...
    ... tout concerné. Plutôt réfléchir à finir la soirée agréablement. Pourquoi pas une escapade dans un des cafés chics de la ville, en espérant trouver une bourgeoise esseulée désirant s’encanailler ? On peut toujours rêver !
    
    Monique revint, pimpante, recoiffée, maquillage impeccable, rouge à lèvres flambant neuf, parfum aux effluves de jasmin. Elle avala le verre de liqueur auquel je n’avais pas touché et, bien campée dans ses bottines, ses grands yeux sombres fixés dans les miens, elle me tint des propos qui me laissèrent pantois :
    
    — Mon cher Pierre, nous avons pratiquement le même âge, tous les deux. (Sympa pour mézigue, car j’en avais quand même au bas mot dix de moins !) Nous sommes adultes, responsables et en bonne santé encore. Ni vous ni moi ne voulons attraper un cancer… Il faut donc mettre toutes les chances de notre côté. Votre oncle m’a affirmé que vous n’aviez pas encore trouvé de petite amie, et mon mari ne peut plus remplir ses devoirs conjugaux. Alors j’ai pensé qu’on pourrait se rendre service mutuellement, dans le plus grand secret, bien sûr… Soyons clairs : j’aime encore mon mari, et la… disons… petite fornication que je vous propose serait d’ordre purement physique, quasi-médicale, si on s’en tient à l’étude suédoise. J’ai pensé à vous quand vous m’avez, tout à l’heure, complimentée sur ma silhouette. Si vous n’êtes pas intéressé, je n’en ferai pas un drame… Votre vieil oncle est mon confident depuis longtemps, et il serait certainement peiné d’apprendre le ...
«12...456...9»