1. La grande désillusion - Première Epoque


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, groscul, poilu(e)s, campagne, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme entreseins, Oral préservati, pénétratio, portrait, fsodo, uro, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... comportement peu charitable de son neveu adoré…
    
    La garce me faisait un chantage au sentiment ! Mais, tout bien considéré, pourquoi pas ?
    
    Quand, mes grandes mains velues se posèrent sur ses seins, Monique, d’une voix de petite fille fautive, s’excusa par avance de ne pas oser prendre d’initiative : elle était d’un naturel réservé et en plus, son mari puritain lui avait coupé toute velléité en ce domaine. Je la rassurai par un gros baiser langoureux et lui affirmai que tout allait bien se passer, que je prenais la direction des opérations et qu’elle pouvait se décrisper. Collés l’un contre l’autre, on était en phase de reconnaissance du terrain : elle avait déboutonné ma chemise et explorait mon torse d’une caresse douce. Tout en couvrant de bisous mouillés son cou, j’en profitai pour tester les bonnes dispositions de mon hôtesse : avec tact, je remontai le bas de la robe et saisis à pleines mains les fesses dodues de Monique… Aucune protestation, même quand mes mains pénétrèrent sous la ceinture élastique de la petite culotte pour se saisir des cuisses moelleuses.
    
    Elle me suggéra timidement de passer dans la chambre d’ami.
    
    Elle comprit très vite que je n’étais pas un adepte de la galipette classique. Elle émit un discret « Oh ! » de surprise quand elle se retrouva à plat ventre sur l’accoudoir d’un grand fauteuil en cuir, le nez dans le fond du siège et la croupe tendue vers le plafond. Je soulevai complètement le bas de la robe et me mis à genoux derrière elle. ...
    ... Monique avait mis une autre petite culotte, bleu azur, apparemment toute propre car elle sentait l’adoucissant à la lavande. Je pris mon temps pour faire descendre la lingerie intime bordée de dentelles. Accompagnant chaque centimètre de la chute par un coup de langue fébrile sur sa raie profonde. Monique se laissa goûter le trou du cul sans s’offusquer.
    
    Alors que je reprenais mon souffle, elle se débarrassa de son slip et m’invita timidement à persévérer. Elle se remit dans la même position en ouvrant plus largement ses cuisses. Le spectacle offert par ma partenaire me ravit : les jambes tendues, gainées de noir, les bottines rouges, la chatte gonflée et velue émergeant d’entre les cuisses ouvertes…
    
    La fente hérissée de petites crêtes sombres était maintenant trempée ; ma langue, à force de la fouiller, était pâteuse et sèche. Aux grands maux, les grands remèdes : deux doigts dans la chatte et mon gros index dans le trou du cul se mirent en action, synchrones, à la hussarde. Monique s’en montra surprise, certes, mais fort satisfaite. Elle fut encore plus surprise quand, vautrée dans le fauteuil, complètement nue, les seins encore humides de mes caresses, elle me vit monter sur le fauteuil, complètement à poil. Une jambe de chaque côté de ses cuisses, je pliai les genoux et, la queue raide bien en main, je fis voyager mon gland sur la bouche entrouverte de la mamie. Visiblement, ce n’était pas une pro de la fellation, mais avec quelques conseils elle s’acquitta très ...
«12...567...»