1. La grande désillusion - Première Epoque


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, fplusag, extracon, groscul, poilu(e)s, campagne, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme entreseins, Oral préservati, pénétratio, portrait, fsodo, uro, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... jouxtait la photo :
    
    « Jojo n’est pas du genre romantique ni intello, mais il m’a honorée deux fois la même journée. »
    
    La seconde fois, d’après Monique, il avait insisté pour l’initier aux joies de la sodomie. Elle avait accepté par curiosité, mais Jojo ne faisait pas dans la dentelle ! Son mari s’était étonné de sa curieuse façon de marcher, encore deux jours après l’initiation par le plombier viril.
    
    La double page suivante portait trois numéros : « 3, 4, 5 ». Le sous-titre était plus éloquent :
    
    « Mon premier orgasme à 59 ans. »
    
    À gauche, une photo de groupe à Djerba, avec son époux et trois Tunisiens souriants. Aucun commentaire, mais sur la feuille de droite, une photo, tirage sur imprimante papier, occupait la moitié de la surface. La photo numérique était mal cadrée, sûrement un amateur peu doué. Dans un champ d’oliviers, Monique, l’écharpe saharienne enroulée sur la tête, les nichons à l’air, était à plat ventre, en travers du dos d’un bourricot attaché qui paissait sereinement. Un des jeunes Tunisiens de la photo soulevait sa djellaba des deux mains et lui faisait sucer sa mince mais longue queue, ...
    ... sur la droite du bestiau. De l’autre côté, un pantalon blanc et une petite culotte pendouillaient à la cheville gauche de l’épouse infidèle. Le second autochtone, hilare et complètement nu, enfilait la mamie écartelée en levrette, les mains accrochées à ses fesses blanches pour mieux ouvrir la croupe de la sexagénaire.
    
    Je crois bien que je ne me suis jamais senti aussi ridicule, aussi nul et aussi naïf de ma pauvre existence (et pourtant, j’en avais fait, des conneries !).
    
    Comme le dit si délicatement un grand philosophe du village (le patron du Café des Sports) :
    
    — À chacun sa merde !
    
    Je laissai quand même la rose sur la coiffeuse, mais je changeai le petit mot en le posant, bien en évidence, sur le cahier intime :
    
    « Merci pour le conseil sur mon déodorant corporel. Un conseil en valant un autre, évitez de manger chinois car cela vous provoque des flatulences et des ronflements peu féminins. »
    
    Dans la foulée, je récupérai dans le panier de linge sale sa petite culotte jaune canari, imprégnée de toutes ses odeurs intimes. (Disons… pour convenance personnelle !). Au moins, je n’aurais pas perdu ma matinée. 
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