1. Un dimanche à la campagne


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... superbes qui se rejoignaient là-haut tout juste séparées par une culotte en coton genre « petit bateau ». Ces culottes étaient anachroniques sur cette femme très sophistiquée et c’est justement cet anachronisme qui la rendait perverse et qui exacerbait mes sens. Dés lors, mon érection se fit franche et nette, elle savait parfaitement ce qui mettait les hommes en émoi.
    
    • Baisse ton pantalon pour que je puisse vérifier si tu mérites que je perde mon temps avec toi.
    
    Sans réfléchir, toujours à genoux, je baissais mon pantalon et mon caleçon laissant ma queue libre de lui indiquer mon admiration.
    
    • A la bonne heure, il ne manquerait plus que je ne te fasse pas bander. Je suis contente de voir que je te plais, c’est indispensable pour ce que je te réserve. Très bien, rhabille-toi.
    
    Ses yeux étaient luisants d’excitation et l’expression de jubilation contenue sur son visage démontrait combien elle savourait ces instants où tout lui était permis. Usant de son pouvoir en faisant référence d’un air hautain à ma condition d’esclave, elle rappela que ma présence n’était tolérée qu’à conditions que j’exécute ses ordres sans discussion.
    
    M’indiquant du doigt une remise de jardin.
    
    - Tu vas aller dans cette remise là-bas, tu y trouveras des meubles de jardin et des fauteuils de plage. Après les avoir nettoyés, tu les installeras prés de la piscine qui se trouve là-bas derrière la haie. Préviens-moi dés que tout est prêt. Aller, dépêche-toi, je n’aime pas ...
    ... attendre.
    
    S’installant confortablement sur la balancelle, elle se plongea dans une revue sans plus s’occuper de moi. Je me précipitais vers la remise, Il y faisait une chaleur lourde. Il y avait là coussins, chaises, table, fauteuils de plage etc.… Il y avait aussi de l’eau et le nécessaire pour nettoyer. Je m’appliquais mieux que si c’était pour mon propre usage. Lorsque tout fut prêt, je me rafraîchis le visage et la poitrine pour être plus présentable et allais la prévenir ensuite.
    
    Elle ne leva pas la tête à mon arrivée. Me raclant la gorge, d’une petite voix inquiète, je lui annonçais.
    
    - J’ai tout installé !
    
    Elle m’ignorait, continuant de lire sa revue. Après quelques minutes, ne sachant que faire, j’essayais.
    
    Maîtresse ?
    
    Elle leva doucement la tête, l’air pas très contente qu’on la dérange.
    
    • Maîtresse, c’est très bien, tu dois toujours t’adresser à moi de cette façon ! Mais c’est la dernière fois que tu m’interpelles, un esclave doit toujours attendre que sa maîtresse l’autorise à prendre la parole.
    
    Elle avait daigné me répondre. Soulagé et pour me faire pardonner, je me précipitais à ses pieds et les adorais. Elle me laissa faire quelques minutes et puis, me repoussant du pied, méprisante, elle se leva et décréta.
    
    - Eh bien, si c’est prêt, Allons-y !
    
    Je la suivit à trois pas direction la piscine, saisi par une impression étrange qui mêlait une honte confuse à un sentiment de bien-être bizarre, des bulles de champagne me traversaient le cerveau. Réalisant que ...
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