1. Un dimanche à la campagne


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... cette fois je ne rêvais pas, que je me trouvais dans la réalité. Peut-être que mes obsessions allaient enfin se réaliser, en tous les cas je n’en avais jamais été aussi prés, c’était aujourd’hui ou jamais. Ressentant des picotements dans le bas-ventre en contemplant sa croupe péremptoire, je m’imaginais lui léchant la raie. Je me rendis compte que je bandais comme un âne, désormais, dés que j’étais à moins de dix pas d’elle, je bandais. Je découvrais les affres de l’incertitude, passant sans transition entre la honte extrême, le bonheur de la soumission et l’espoir de délicieuses extases.
    
    Arrivée au bord de la piscine, elle s’installa dans un fauteuil.
    
    Ne sachant que faire, j’attendais debout qu’elle veuille bien me donner des ordres. Quelques minutes plus tard, semblant redécouvrir ma présence.
    
    • Approche-toi !
    
    Me détaillant du regard.
    
    • Tu ne vas pas rester affublé comme ça. Va voir Michel à la maison, demande-lui de te prêter un boxer-short et un tee-shirt et reviens ici pour te changer. Dit aussi à Michel de venir me voir.
    
    • Oui maîtresse.
    
    Quelques minutes plus tard, je revins avec Michel qui m’avait prêté des vêtements. Dés que nous fûmes prés de Nicole, il adopta une attitude déférente qui me fit penser qu’il devait avoir en cet instant, à peu prés le même statut que moi auprès d’elle. M’ordonnant de me prosterner devant elle. Je me jetais à ses pieds, elle les posa sur ma nuque et s’adressant à Michel.
    
    • Tu peux nous laisser, je vais pouvoir ...
    ... faire ce que je veux de mon jouet. Reviens à 19 heures précise, je crois que j’en aurais fait le tour.
    
    Le jouet c’était moi, mais même ce mépris ne pouvait m’empêcher de la désirer. D’habitude, mon sang n’aurait fait qu’un tour en entendant des propos aussi humiliant, mais là, j’en redemandais.
    
    Michel nous quitta, je restais seul avec Nicole. Elle m’ordonna de me changer. Généralement, je ne me gène pas lorsqu’il faut me mettre nu devant une femme, au contraire. Là, le contexte était différent, Nicole m’observait d’un œil critique et mon érection, qui lui indiquait combien j’avais envie d’elle, me mettait en position d’infériorité. Elle s’était très vite rendue compte que j’étais prêt à accepter toutes les bassesses pour rester prés d’elle.
    
    Lorsque je fus nu elle me demanda de m’approcher. De l’index, elle s’amusa à croiser le fer avec ma bite tendue, soupesant ensuite mes couilles dans sa main.
    
    • Alors, nous sommes d’accord, je peux faire ce que je veux avec ça ?
    
    • Oui, maîtresse.
    
    • Tant mieux, je n’en doutais pas un instant mais j’aime te l’entendre dire. Pour l’instant je n’en ai pas envie. Enfile le short et le tee-shirt, je n’ai pas envie non plus de voir des chairs flasques et poilues.
    
    Elle exagérait, je n’étais pas Arnold Schwarzenegger mais en général, on me trouvait bien de ma personne et je croyais que les quelques poils sur la poitrine ajoutaient à ma virilité.
    
    M’étant habillé selon ses désirs, elle me fit asseoir sur mes talons à ses pieds, ...
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