Il était une fois
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
jeunes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
coprolalie,
inithf,
fbi,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... es à croquer. C’est vrai que je te mangerais les seins et la chatte.
— Tu peux y aller. Après ce que tu m’as fait hier, je sais que j’aimerai bien. Tu as une de ces façons de lécher mon clitoris que, rien que de penser que tu vas me le faire, j’en ai déjà des frissons. Je sens que je vais bien jouir. Viens ! J’ai envie de toi. Je sens que je mouille et si j’avais mis ma culotte, elle serait trempée. Mets ta main et tu sentiras.
À ce moment, la sonnette tinta.
— Tiens ! J’avais pourtant cru que j’avais fermé la boutique pour me préparer en t’attendant. Je vais voir.
En un clin d’œil, elle fit tomber sa chemise de nuit et enfila une petite robe qu’elle boutonna tout en allant au magasin. Comme elle avait laissé la porte du salon entrouverte, j’entendais ce qui se passait. José avait bien fermé la boutique mais la cliente avait sonné au bouton extérieur. José lui ouvrit. La personne voulait absolument acheter une nuisette pour faire une surprise à son mari qui rentrait de l’étranger. Sans faire de bruit, je m’approchai dans le couloir et me cachai derrière la porte vitrée. Josée ouvrit deux ou trois boîtes et montra les nuisettes. La cliente, qui était de l’âge de Josée et bien faite, entra dans la cabine d’essayage qui se trouvait en face du couloir et comme elle n’avait pas tiré le rideau, j’assistai à l’opération. Ce fut vite fait. La femme n’avait ni slip, ni soutien-gorge. Elle fit tomber sa robe et passa les nuisettes l’une après l’autre puis appela Josée pour ...
... un petit conseil.
Je n’osais pas bouger mais la vue de cette cliente nue puis simplement vêtue d’une nuisette transparente me donna des envies. Je me mis à jouer avec ma bite qui s’empressa de rebander. La cliente, elle, jouait avec ses seins qu’elle avait haut perchés et fermes. Puis, sans manières, elle enleva la nuisette et se retrouva nue devant Josée.
— C’est celle-ci, dit-elle. Je vous dois combien
— Cela fera deux cents francs. Dois-je vous l’emballer ?
— Inutile, reprit-elle, toujours aussi nue. Faites-moi seulement un petit paquet. Je la mettrai ce soir.
Je me caressais toujours et ma bite avait gonflé et me faisait mal. La dame remit sa robe, régla et sortit. Josée la suivit pour refermer la porte à clef. Je m’empressai de retourner m’asseoir mais j’étais tellement excité que je m’accrochai les pieds dans le tapis et je faillis m’étaler. Josée rentrait à ce moment.
— Tiens ! Qu’est-ce qui t’arrive ?
— Rien, je voulais aller voir ce qui se passait et j’ai accroché le tapis.
— Ah ! J’avais l’impression que tu étais venu voir ce qui se passait dans la boutique. Avoue que tu t’es caché derrière la porte pour voir. Grand curieux, va !
— Ben oui, dis-je la voix un peu sourde.
— Et alors, qu’en dis-tu ? Elle est jolie et elle a de beaux seins bien hauts et fermes. Elle n’a pas besoin de soutien-gorge.
— Oui, j’ai vu mais je n’ai pas pu voir sa chatte parce qu’il ne faisait pas assez clair.
— Dommage pour toi, parce qu’elle est jolie aussi, un peu châtain ...