1. Il était une fois


    Datte: 30/04/2018, Catégories: fh, ffh, fplusag, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, Masturbation intermast, Oral 69, pénétratio, coprolalie, inithf, fbi, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    À l’époque de mes études, j’avais un peu plus de dix-huit ans, ma mère avait une amie qui tenait une petite mercerie de quartier. Josée, qui avait trente-cinq ans, était mariée à un voyageur de commerce mais n’avait pas d’enfant. Son mari était absent la semaine et partait souvent à l’étranger. Il ne rentrait que le vendredi soir. Grande, aux longs cheveux châtain, elle me considérait un peu comme son gamin, car elle m’avait gardé lorsque ma mère avait dû être opérée. Je ne passais pas une semaine sans aller la voir. C’est dire si nous nous connaissions.
    
    À la fin de mes études secondaires, je continuais à fréquenter la boutique et Josée m’avait proposé de tenir ses comptes. Une fois par semaine, je passais mon après-midi à classer les factures et à recopier des colonnes de chiffres dans de grands cahiers. Elle me gratifiait d’un petit pourboire et d’un bon goûter.
    
    Un jeudi, alors que j’étais occupé à vérifier les commandes, elle vint me trouver dans le salon où elle m’avait installé et me proposa une tasse de café. Quand elle revint avec le plateau, je remarquai que, contrairement à son habitude, car elle était assez discrète, elle portait une robe légère, un peu courte pour l’époque et boutonnée sur le devant. Elle n’avait pas fermé les deux derniers boutons du haut et c’est ainsi que, quand elle se pencha pour servir le café, la robe s’ouvrit largement et je pus voir tout le haut de ses seins. Elle s’assit près de moi.
    
    Nous bavardions comme d’habitude de tout et ...
    ... de rien. Elle prenait des nouvelles de ma famille et me faisait l’éloge de ma mère. Josée me demanda soudain :
    
    — Qui était cette demoiselle avec qui tu parlais avant-hier sur le banc de la Place du Jeu de Balle
    — Une copine.
    — Tiens ! tiens ! Tu as une petite copine, maintenant ? Je ne savais pas, ta mère ne m’a rien dit. Petit cachottier !
    — Ce n’est qu’une bonne camarade de cours. Tu es jalouse ?
    — Non, pas spécialement.
    
    Ma main tremblait un peu. Elle s’en aperçut.
    
    — Tiens ! Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu n’es pas bien ?
    — Non. Je n’ai rien.
    — Mais tu trembles.
    — Ce n’est rien. J’ai peur de renverser.
    — Regarde-moi.
    
    Je dus rougir, car elle me regardait dans les yeux.
    
    — Toi, tu as quelque chose sur le cœur. Tu peux me le dire, tu sais.
    — Ben…
    — Ben quoi ? C’est si grave que ça ?
    — Tu vas te moquer de moi. Ou alors tu vas me gronder et me prendre pour un petit malappris et le raconter à ma mère.
    — À ce point-là ? Je te promets que non. Allez, vide ton cœur.
    — J’aimerais bien que…
    — C’est si difficile que ça ? Cela me concerne ? Dis-moi !
    — Je voudrais que tu…
    — Que je… quoi ?
    — Que tu me montres… tes seins.
    — Ah bon ! dit-elle en éclatant de rire. Rien que cela ?
    — Tu vois bien que tu te moques de moi.
    — Mais non, je ne me moque pas de toi. Mais tu me surprends. Tu veux vraiment les voir ? Je te préviens, mes seins ne sont pas extraordinaires, tu sais. Tu risques d’être déçu.
    — Je ne le pense pas. On verra bien. Et tu seras la première femme ...
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