Il était une fois - Histoires de Sexe

Il était une fois

... et surtout avec des poils courts qui laissent bien voir sa fente qu’elle a très longue. Tu y passerais ta main entière.
— Tu crois ?
— Je t’assure. Je l’ai vue souvent. Quand elle vient acheter des petites culottes, elle me demande toujours de les lui passer ; alors je vois bien sa chatte bien fendue. Un jour, pendant que je lui essayais un tout petit slip rose, elle a pris ma tête dans ses mains et l’a collée contre sa fente en me disant : « Sens, comme je sens bon, là ». C’était vrai mais je me suis arrêtée à temps, car je crois bien que j’aurais passé ma langue dessus. Son clitoris était long et sortait de sa gaine rose. Elle voulait que je le caresse mais j’ai refusé en lui disant que j’avais quelque chose sur le feu.
— Tu n’as jamais regretté de ne pas l’avoir fait ?
— Non, cela ne m’intéressait pas. Je préfère une bonne bite comme la tienne à une moule chaude, même si elle est bien mouillée.
— N’exagère pas. Ma bite n’est pas si terrible que ça !
— Qu’est-ce que tu lui reproches ?
— Elle n’est pas bien longue. Elle ne fait que treize ou quatorze centimètres. Je te l’ai dit. Et cela me gêne.
— C’est assez long pour moi. Et puis, elle est grosse comme je l’aime. Je m’en suis rendue compte hier, quand tu me l’as mise. Elle m’emplissait tout le vagin et elle frottait fort dedans. C’est pour ça que j’ai si bien joui. Tu sais, ce n’est pas la grandeur de la bite qui compte mais la façon dont l’homme s’en sert et toi… pour une première fois, ce fut super. Tu as le ...

... droit d’être fier de toi. Je crois que tu es doué.
— Merci pour le compliment. Tu es vraiment trop bonne. Toi aussi tu m’as fait du bien et j’attends que tu recommences. Que veux-tu que je te fasse ?
— Eh bien !… Je ne sais pas, moi… Embrasse-moi partout… Joue avec mes mamelons, j’aime tant quand on les chipote… Et puis tu passeras ta langue sur ma chatte, comme hier, tu la suceras pendant que tu joueras avec mon clito. Tu sais, il était content hier. Je le sentais se gonfler sous tes doigts.

En disant cela, elle releva le pan de sa robe, écarta les jambes et de sa main libre, elle se mit à se caresser, ouvrant ses lèvres de deux doigts et passant le troisième sur son clito.

— Je mouille, tu sais. Mon clito est déjà gros. Regarde.

En effet, le bouton rose sortait de son étui et brillait du jus qui coulait de la moule. J’avançai la tête et posai ma langue dessus. Josée poussa un long soupir, prit ma tête dans ses mains et me la serra contre sa chatte.

— Oh ! Ooooh ! Ouiiiiii ! Ouiiiiiiii ! Comme ça, Encore ! Encore ! Encore ! C’est bon ! Continue ! Tu me fais du bien à ma chatte. Tu me rends folle. J’ai envie de toi ! Je veux que tu me baises fort comme hier.
— Moi aussi, j’ai envie de toi. J’ai envie que tu suces ma bite et si tu veux, tu te la mettras toi-même dans ta cramouille.

Alors, elle m’écarta doucement, posa sa main sur mon slip et commença à me masser la bite à travers le tissu. Puis, elle glissa sa main dans le slip et saisit ma bite qu’elle continua ...