Il était une fois
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
jeunes,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
coprolalie,
inithf,
fbi,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... demain.
Je rentrai à la maison, heureux mais fatigué. Ma mère s’en rendit compte. Elle devait voir mes yeux cernés. Elle ne dit rien. Mais je suppose qu’elle se sera posé des questions en me voyant aller me coucher plus tôt que d’habitude. Je dormis mal. Longtemps je revis le corps de Josée, ses seins fermes aux bouts gonflés, ses longues jambes et sa chatte ouverte sur son vagin humide et chaud. Je me caressai en pensant à elle et je pensais qu’elle devait faire de même, comme elle me l’avait promis.
Pourtant je me levai satisfait. Je me disais que je ne me serais jamais senti capable de faire jouir une femme, si on m’avait posé la question. Du moins je l’imaginais jusqu’à hier après-midi. Toute la journée, je rêvai à la veille et je me fis quelques fois rappeler à l’ordre par les profs. Je revoyais les seins de Josée en traduisant les Odes d’Ovide ou en essayant avec peine de résoudre des équations à deux inconnues. Évidemment, vous le devinez, quand la cloche sonna la fin des cours, je me précipitai vers la sortie, au risque de me faire attraper par les pions.
J’arrivai chez Josée tout excité. Je voulus entrer dans le magasin. Il était fermé. Je me mis à pester comme un sot contre les femmes incapables de tenir leurs promesses. Au moment où j’allais partir, je me rappelai qu’elle m’avait dit :
— Si la boutique est fermée, c’est que je suis à faire des courses. Fais le tour par derrière et attends-moi. La clé est dans un trou derrière le volet.
En effet, je ...
... trouvai la clé à l’endroit indiqué. J’entrai et allai m’asseoir au salon. Je repris la lecture des revues érotiques que Josée avait laissées (volontairement ?) sur la table. La lecture des textes très évocateurs ainsi que les photos montrant les chattes ouvertes, les clitoris gonflés sortant de leur étui, les seins aux mamelons bien durs me mirent dans un état d’excitation tel que je déboutonnai mon pantalon, je sortis de mon slip devenu trop étroit ma bite bien dure et je commençai à me caresser. Peu à peu l’image de Josée remplaça celle de la fille de la photo et cette image m’excita encore plus au point que je pris ma bite à pleine main et je me branlai copieusement.
J’entends soudain un léger bruit venant de l’étage. J’écoute. Des pas semblent descendre lentement l’escalier. Je ne fais rien pour me rajuster. Ma bite gonflée, émerge largement de mon slip et se dresse comme un petit pal que je continue à branler. Je regarde les marches et je vois arriver une Josée vêtue d’une seule chemise de nuit transparente qui lui descend jusqu’aux chevilles. Le vêtement, fendu des pieds à la poitrine, bâille largement et comme elle n’a pas pris la peine de mettre une petite culotte, Josée me fait le plaisir de m’exhiber sa jolie toison qui couvre sa fente rose. Elle s’avance lentement pour ménager son effet et se plante devant moi, me mettant sa chatte à hauteur de mon visage, comme une invitation au baiser.
— Suis-je belle comme ça ? Je te plais dans cette tenue ?
— Oh oui ! Tu ...