1. Deux salauds, une femme, un cocu 3/4


    Datte: 06/01/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... maximum. Thérèse en gardera des traces et un souvenir cuisant ou c‘est à désespérer: pour moi ce sera compté comme le prix de son long silence. Elle n’avait qu’à me faire confiance et elle n’aurait pas à endurer le supplice. Demain je la renverrai chez le médecin et demanderai l’avis du gynécologue ou d’un urologue: l’état de son vagin devra trouver une explication plausible. On n’est pas aussi mal en point sans cause. J’hésite encore sur la suite à donner. Je laisse passer ou je dois stopper le massacre en me montrant?
    
    Hélas je me suis endormi, moi aussi, j’ai oublié le téléphone. Une nouvelle explosion de cris de douleur me réveille dans la chaufferie. En haut, ils ont repris leurs ébats.
    
    J’observe, Blaise est seul en place derrière les fesses arrondies. Elle est maintenue à quatre pattes. Le buste, plus bas que les fesses, écrase ses seins sur la le ventre d’Hervé
    
    - Mets lui ta pine dans la bouche pour l’occuper et la faire taire et mets lui un doigt dans le con. J’adore bombarder son petit cul à grands coups de bite.
    
    - Si elle ne la ferme pas, change de trou.
    
    Hervé est en parfait accord avec l’autre ! Thérèse tente de protester timidement. Elle a compris que ses plaintes renforcent les désirs et déchaînent des assauts furieux.
    
    - Ah! Non, plus ça. Plus aujourd’hui.
    
    - D’accord si tu promets qu’on recommencera dans quinze jours. Évite de recevoir le chibre de Paul, tu guériras plus vite. Sinon, tant pis pour ton ventre, il pâtira de ta conduite. ...
    ... Obéis moi.
    
    Ainsi donc, Blaise va dicter la conduite de ma femme. Elle devra me repousser pour être en mesure de s’unir à lui. C’est révoltant et insupportable. S’ils se rendorment, plus d’hésitation, je vais compenser l’infériorité numérique par l’effet de surprise. En attendant, il lime comme un forcené, se tend sur ses jambes pour attaquer par le haut, ses cuisses serrent le dessus des fesses, sa verge descend presque à la verticale, en piquée et il fait claquer son ventre contre l’amortisseur des fesses. La bouche remplie du vit d’Hervé, ma femme ne peut émettre que des sons étouffés qui battent avec un tout petit retard les chocs et l’intrusion répétée. Au train, Blaise n’obtient pas les cris de bonheur escomptés. Il va à la manœuvre plus sèchement, la course de sa lance est plus courte mais plus rapide.
    
    C’est à peine si je vois sortir un tronçon de son tampon. Il appuie de toutes ses forces, comme si un centimètre de plus allait produire le plaisir dont il serait le pourvoyeur. La fatigue le terrasse. Les abuseurs permutent. Le harcèlement du rectum revient à la trique d’Hervé. C’est reparti pour un tour. Sans plus de résultat à l’arrivée. Thérèse semble désormais tout à fait incapable d’éprouver le moindre plaisir. L’accouplement se défait péniblement. Il envoie une giclée blanche sur le bas du dos. Blaise vide la dernière larme de whisky, pousse un juron, tente de se relever. Je m’enfuis au bas de l’escalier, lorgne sa sortie de la chambre et son retour avec une ...