Deux salauds, une femme, un cocu 3/4
Datte: 06/01/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Accent, Source: Hds
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
A vrai dire, j’aurais tort d’intervenir immédiatement. Le traitement infligé à ma femme par Blaise et Hervé laissera des traces et des souvenirs douloureux dans les chairs rudoyées . Ils viennent de se montrer sadiques en abusant d’un vagin en mauvais état. Pendant que les trois protagonistes dorment, ma femme gémit dans son sommeil et des sanglots secouent son corps rose pâle affalé entre les deux corps poilus et bronzés des mâles écroulés sur le lit. Blaise a promis à son comparse que son tour viendrait: la nuit sera longue et le meneur tient à tirer profit de mon absence qui n’inquiète personne bizarrement, pour asseoir définitivement son emprise sur Thérèse. Les festivités reprendront après un temps de repos. Pour l’instant, elle est prisonnière des bras posés sur elle etn’a plus la force de tenter une fuite.
De ma cave, j’appelle sur mon portable mon téléphone fixe. La sonnerie retentit dans la maison. Je laisse sonner 3 coups. Je raccroche. Quelques minutes plus tard je renouvelle l’appel. Je ne vais pas les laisser dormir. La sonnerie doit secouer les neurones fatigués et résonner horriblement dans les crânes embués.
Je m’amuse donc à envoyer des appels courts à intervalles irréguliers. Enfin la voix pâteuse de Thérèse répond, traîne un « allo » épuisé.
- Ma chérie, c’est moi. Tu es déjà couchée? Es-tu malade, il est encore tôt.
J’entends un soupir las.
- Non, je m’ennuie quand tu n’es pas là. ...
... J’étais descendue à la cave. D’où m’appelles-tu?
A la cave elle m’aurait rencontré, puisque j‘y suis.. Elle ment par habitude, même inutilement. Elle n’a pas l’intention de me parler de l’aventure en cours. Elle ne m’appelle pas au secours. Elle est tellement harassée qu’elle ne se souvient plus que j’étais à la cave. A mon tour je mens, un peu par contagion, un peu pour mesurer son degré d’épuisement.
- De mon bureau. Il est possible que je rentre très tard, j’ai un bilan à rendre demain.
J’entends pouffer, quelqu’un s’étrangle en essayant d’étouffer un fou rire.
- Ma chérie, je tiens absolument à prouver au directeur que je réussirai. Donc je vais continuer . . .Ça te fait rire?
- Non mon amour. Fais vite, ne me laisse pas trop longtemps seule.
-Je te rappellerai avant mon retour.
Je peux retourner écouter en haut de l’escalier, derrière la porte de séparation du logement et du sous sol.
Comme prévu, réveillés par les sonneries de téléphone, les deux gaillards reprennent l’ouvrage sur mon lit. Ils ont de la suite dans les idées. Thérèse a reçu l’ordre de redonner vigueur aux membres ramollis. Ils sont allongés sur le dos. Elle est entre eux, à genoux, penchée tantôt à droite, tantôt à gauche, elle astique l’un d’une main, tient l’autre et le suce. Ils l’encouragent en palpant un sein flottant, la croupe et son sillon, le pubis qui veut se dérober. A chaque instant des mains la pincent, la chatouillent, parcourent les flancs ou le dos, pressent la tête ...