1. Deux salauds, une femme, un cocu 3/4


    Datte: 06/01/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... penchée sur les deux queues.
    
    Elle change de bite mais, avec la même méthode, elle suce et branle. Des mains vont de la tête aux fesses par-dessus son dos courbé. Un majeur s’attarde sur le petit cratère de son anus, le travaille et la fait grogner. Ils ont repris forme, pavoisent et plaisantent grassement. Blaise l’attire sur son ventre, soulève la croupe, dirige son dard vers la cible et pique, tête de nœud en avant, dans la voie la moins douloureuse, passe l’anneau du sphincter comme un suppositoire et se colle aux fesses.
    
    Les mains sur les hanches il dirige le mouvement, la soulève ou la rabaisse, imprime un roulis, la fait tanguer. Autour de la queue le ventre décrit des ovales ou des balancements selon la fantaisie de son enculeur. Cependant Thérèse émet un râle de déplaisir.
    
    - Non, ne recommencez pas. Lâche-moi, Blaise. Oh! Aïe, nooon!
    
    - Tiens bois un coup au goulot.
    
    Je sors de mon antre, m’avance vers la chambre et je jette un œil, ils sont trop affairés pour me voir. Blaise a plaqué ses grosses pattes sur les seins et maintient contre lui le dos de Thérèse. Elle bat des pieds, retarde avec ses bras l’approche de l’instrument de torture de l‘autre salopard. La vulve est étalée, baille rougie par la première charge. Hervé saisit un mollet, puis l’autre et se présente devant la crevasse frippée, ses fesses avancent, son gland se pose à l‘entrée, cherche sa voie, se lubrifie au contact des muqueuses irritées. Commence une longue plainte tirée en ...
    ... longueur, un cri de désespoir, puis viennent les invectives et les injures.
    
    En vain: ils ont décidé de lui faire une double pénétration, anale et vaginale, ils ne céderont pas aux pleurs, aux cris. Le pieu progresse, force le passage, écorche encore mais avance, gagne du terrain et crée une souffrance accrue. C’est fait, Hervé la possède.
    
    - Quand elle jouira, elle cessera ses lamentations., indique le meneur, Vas-y, défonce la, elle se souviendra de toi. Allez, cogne, bourre bien à fond.
    
    Chacun s’efforce de s’enfoncer et de bouger comme il se doit. Blaise bien engoncé laisse à Hervé le soin d’imprimer le rythme et de fournir les poussées les plus fortes avec sa hampe huilée à la cyprine. Celui là pilonne indéfiniment, mécanique réglée, inlassable, régulière, fonce ou ralentit, mais assurément défonce cette vulve devenue plaie béante. Monique est vaincue par la douleur du frottement rugueux dans son vagin dévasté. Elle geint, se fatigue de brailler, ahane sous les coups mais pince les lèvres et serre les poings. Ils font durer leur plaisir. L’accouplement s’éternise. Ils n’obtiennent pas l’orgasme de la femme. Fatigués, ils se jettent dans la recherche de leur seule jouissance, grognent en éjaculant hors les murs sur le ventre et dans le drap.
    
    - Allez, nettoie nos queues, va te laver. Tu as mérité un repos bien gagné.
    
    Je les laisse se fatiguer et je redescends à mon poste d’écoute. Dans une heure je téléphonerai, pour les inciter à ne pas perdre de temps et à jouir au ...
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