-
La Pute et le Gigolo
Datte: 05/01/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... dit des notes de piano sous les doigts d'un virtuose. Le sagouin embrassait bien. Je mouillais comme une folle et lui bandait non moins. Il m'avoua qu'il ne m'avait pas reconnu quand j'étais entrée dans le salon de thé. Il s'était exclamé : « Quelle est cette créature? » « Dis plutôt que t'as pensé : quelle est cette pute ? » Il rit. « En effet passé ton maquillage, je t'ai reconnu grâce à ton timbre de voix. De toute façon tu m'as toujours plu. J'ai été assez explicite le premier jour. » J'en convins. Je le suçais à présent. J’étais parvenue à extirper sa belle queue. Elle comblait tous mes rêves. Je vis qu'il était pas moins fier de son outil. Je tins à l'honorer. Je voulus qu'il rende mérite à mes longues fellations. Peu après la culotte qu'il avait tant reluqué vola par-dessus ma tête. Il me lécha à son tour. Sa langue arpentant le moindre parcelle de ma chatte. Je grimpais au énième ciel. Le saligaud prodiguait un cuni merveilleux. Par jeu il me demanda à récupérer plus tard la culotte. Il en faisait collection. Il goûtait particulièrement que celle-ci fut rouge offrant par sa transparence le moindre détail du sexe. Pouvais-je refuser à mon Don Juan ? Je lui demandais quel était le nombre des culottes récupérées? J’ajoutais : »Tu reviens ...
... cher à toutes tes amantes. » Il était nu à présent le fier Apollon. Le combat fut âpre sur le divan. Il était un amant vigoureux et je n'étais pas en reste. J’avais trop été frustré de sexe ces derniers temps. Au diable l'hiver pourri, les microbes et un chef de service tyrannique. Je voulais baiser tout mon saoul. Il m'importait peu qu'éclatât ici toute cette lubricité. Karim devait se faire peu d'illusion sur mon compte. En un souffle et l'examinant au fond des yeux je lui dis : « T'as compris que j'aime trop la bite. Tu pourras venir te servir quand tu voudras. » Il convint que j'étais un bon coup. Qu'il me trouvait par ailleurs une fille sympa. J'eus voulu peut-être un zeste de tendresse voire de sentimentalité dans ses propos mais c'était trop demandé à la jeunesse et à un Don Juan. Je devais être assez flattée qu'il voulut me re-sauter. Je compris qu'il n'était pas mécontent de trahir l'autre femme, sa protectrice. Celle-ci étant à peine plus âgée que moi. Cette garce était une grande bourgeoise. Modeste secrétaire je lui faisais la nique. Vive la lutte des classes ! J'informais à mon tour Karim que je couchais peu avec de jeunes mâles et qu'il était ici l'heureuse exception. Pour finir je lui dis dans un souffle : « Prend moi le cul ! »