-
La Pute et le Gigolo
Datte: 05/01/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... son bureau. Karim parut non moins ébloui que les autres dont l'un dans le métro s'était vulgairement collé à moi. Je voyais le moment où ce porc allait glisser sa main sur ma cuisse prête à déclencher une gifle. Il est vrai que mon manteau dissimulait à peine que dessous, la jupe était trop courte et que je portais des bas pour lors que les cuisses fussent croisées. Cet accoutrement convenait davantage en ce salon de thé dans la mesure où convergeaient vers lui le regard de nombre de mâles. J'ai toujours adoré allumer et percevoir que dans un pantalon cela bande. Prodiguant un large sourire vers Karim je lui manifestais assez que j'étais dans de généreuses dispositions à son égard loin de la distance que j'avais naguère affecté. Sans doute voulais-je ne pas passer pour une femme facile. Ce play-boy devait avoir trop l'habitude qu'on lui succombât. En cette après-midi de décembre il y avait fort peu de monde. Nombre étaient déjà aux achats de Noël battant la semelle dans les magasins. J'étais convié chez ma mère et son nouveau compagnon et j’avais réglé la question par des chèques cadeaux. Karim s'enhardit à me tenir compagnie. La conversation commença à rouler banalement sur la météo exécrable. Il s'enquit de mon absence et parût sincèrement affecté par mon bobo. Croisant à un moment mes cuisses plus haut, il n'en lâcha pas moins à cet instant un fort propos leste et vulgaire. « Je vous eus volontiers tenu ...
... compagnie au lit ». J'avais le loisir de m'offusquer et de couper court à notre conversation. Cependant je vis qu'il voulait me tester et accélérer son offensive. Du même ordre il me fit observer qu'un vieux vicieux là-bas n'avait de cesse de nous regarder. Cela l’enchantait. Karim s'esclaffant me souffla : « Je parie que ce con vote FN ! » Renchérissant avec un ton plus sérieux il demanda : « Vous n'avez rien contre les Kabyles , » Je lui répondis avec la dernière sincérité que je n'y connaissais rien en races ni en diverses ethnies. Quelqu’un me plaît ou pas. A cet égard, il me gênait point qu'il matât sans vergogne mes cuisses et ma chair blanche affleurant à la naissance des bas. Nous en vînmes à un ton plus confidentiel. Il fit mine de se plaindre que c'était la première fois que je consente à une conversation avec lui. Je lui rétorquais qu'il se consolait ailleurs. Nous en étions à la badinerie voire à l'humour vache. J'étais heureux que ce mignon eût aussi un bel esprit. Il m'avoua que ce boulot était un pis aller. Que tous ses diplômes étaient ici inemployés. Il convint qu'il vivait assez d'expédients et notamment qu'il était entretenu actuellement par une femme mariée. Je lui dis que je n'étais point choquée par son statut de gigolo. Je balançais même dans un sourire que c'était avec celui de pute le plus vieux métier du monde. Nous éclatâmes de rire ensemble. Peu à peu nous en vînmes au tutoiement. J'avais ...