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La Pute et le Gigolo
Datte: 05/01/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... la culotte mouillée. Il devait bander. Il devait terminer dans moins d'une heure son service. Il voulait m'emmener boire un verre dans une brasserie. Je lui dis que cette première sortie m’avait un peu entamé et que ce serait mieux que notre conversation se poursuivit chez moi. Il y faisait bien chaud ; J'y proposais aussi du bon thé. Il ne pouvait espérer une meilleur issue et un meilleur tempo. Il m'assura qu'il me rejoindrait dès que possible après être rentré chez lui et qu'il se fut changé. Tout allait trop vite à mon gré mais n'avais-je pas mis la main à la pâte ? Ce jour-là j'avais envie indubitablement d'une queue. De toute façon il était tard pour passer pour autre qu'une salope. Il en avait vu d'autres mon mignon. A mon âge on est une garce et la pudeur a été depuis longtemps jetée aux oubliettes. Le rapport physique et sexuel n'excluant pas pour autant qu'il ne put y avoir quelque chose de profond et de respectueux entre deux amants. Nous avions convenu de nous connaître très vite et très profond au sens biblique. N'y allant par quatre chemins, je le reçus en peignoir avec dessous mon string et mes bas couture. Du reste il avait assez deviné de ce string lors de la précédente conversation. J'étais prise d’excitation voire d'un trac inattendu. Outre qu'on ne m'avait sauté ainsi depuis deux mois, j'avais par trop désiré ce gamin. Je ne trouvais pas moins émouvant qu'il vint chez moi. C'eût ...
... été différent avec l'un de ces vieux cochons du Net qui sans égards pour vous déballe la marchandise et vous intime de les sucer à fond. Karim parut rasé de près et parfumé. Il était affublé d'un beau costard. Je ne pouvais rester insensible à pareille délicatesse. Hôtesse d'un jour je tins à lui montrer que je savais servir aussi le thé et que celui-ci était d'une grande qualité. Le miroir renvoyait un visage fardé et qui était le mien. Je ne concevais qu'il ne m'eût déjà traité de pute. Sûrement l'avait-il pensé. Par jeu je déclarais : « J'ai mis par trop de fard Bébé ? Ne fais-je pas un peu Geisha ? » Il répliqua sur le même mode de dérision : Je baise classique. L'Empire des sens c'est pas mon truc. » Peu après ce bon mot, il se glissa jusqu'à ma bouche et m'embrassa. Ce môme était tout en dextérité. Il avait du faire cela cent fois avec des femmes dans mon genre. Rapidement écartant les pans du peignoir, il considérât mes beaux fruits. Son œil vicieux semblait fort averti. J'éprouvais un peu d'humiliation à être évaluée tel une marchandise. N'étais-je pas trop vielle à son goût et ne trouvait-il pas certaines de mes chairs fadasses ? Je m'en voulais de perdre mon assurance. Aussi tins-je à lui abandonner toute initiative. Ses mains me palpaient et prenaient leurs aises. Finalement il ne marquait nulle répugnance. Bien au contraire. Sa main au fond de la culotte, il s’enquit à me caresser et à me faire jouir. On eût ...