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La Pute et le Gigolo
Datte: 05/01/2021, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
Ce mois de décembre pourri me rendait peu enclin à la bagatelle. Le rythme du travail s'était pas mal emballé à cause des échéances de fin d'année. Je n'avais guère supporté la pression du nouveau chef de service. Bref une mauvaise crève mal soignée matinée d'un début de dépression avait eu raison de moi. Bref je n'étais pas mécontente d'avoir déserté l'embarcation à un tel moment. Sans doute me ferait-on payer ma défection. En attendant je savourais de demeurer chez moi à ne rien faire. Je n'en draguais pas moins sur les sites allumant à tout-va demeurant pourtant fort sage. Sur le coup je m'étais remise un peu plus tôt que prévu. J'eus le soin d’appeler le big boss lui annonçant que je pourrais prématurément revenir aux abords de Noël pour donner en sorte un coup de main d'autant que beaucoup à une telle période projetaient de prendre leurs jours de congés. Ma proposition fut reçue avec enthousiasme. En effet mon secours fut de tous applaudi hormis par l'autre imbécile. Je n'en avais pas moins marqué un point. On me laissa entendre que je pourrais obtenir dès le mois de janvier prochain un autre poste autrement plus rémunérateur. Ainsi devais-je dans trois jours reprendre le chemin du boulot. De toute façon je m'ennuyais passablement à l’appartement en compagnie de mes chats. J'escomptais un moment accéder à une demande de rencontre avec un type dragouillée sur le Net. Puis cela me parut d'un coup ...
... prosaïque voire vulgaire. Je n'avais pas envie d’être sautée de cette façon. Une autre idée me traversa la tête. Je pensais depuis quelque temps au sourire de beau gosse d'un Karim. Celui-ci tout gamin servait en un salon de thé à deux métros de là. Il m'avait dragué gentiment auquel je n'avais pas donné suite. Je tins à l'honorer de ma première sortie convalescente. De toute façon j'aimais l'ambiance feutrée de ce lieu où l'on pouvait lire et où l'on passait en fond musical de vieux airs de jazz. Puis j'avais besoin de savoir si j'étais encore désirable, le témoignage de mon miroir demeurant par trop sujet à caution. Je n'en passais à moins une heure devant lui tant pour m'assurer tant que mon maquillage ne fut outré que pour essayer maints vêtements. Sur la fin je concédais un maquillage par trop osé et une mise qui ne l'était pas moins. En un mot il me plut de paraître pute. C'était un temps de chien. En une autre circonstance il m'eût sûrement dissuadé de sortir et de persévérer dans mon envie. Heureusement les premiers regards mâles me confirmèrent mon triomphe. Les femmes point en reste m’assurèrent plutôt de leur désaveu. J'étais sur la bonne voie. La quarantaine passée je savais déborder d'une vraie sensualité. Mes formes un peu arrondies n'en attiraient que plus le chaland. J'évoquais sans doute des empoignades furieuses dans un lit. Mon hostile chef de service m'avait sûrement reproché ce style. Je nuisais au calme de ...