1. Monsieur Paul et les peintres 2


    Datte: 02/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds

    ... lenteur, la douceur est une des clés.
    
    - Ooohhhh ! Feule-t-elle en lâchant le gros sucre d’orge qu’elle dévorait.
    
    - Laisse-toi faire mon poussin ! Monsieur Paul va t’emmener dans la cour des délices !
    
    Les mots doux contrastent avec l’effraction, mais c’est le but. Et Odette reprend les léchouilles sur la hampe et les noix du peintre.
    
    Le pharmacien joint les cinq bouts des doigts très glissants d’une de ses mains, puis passe l’autre sous le ventre de sa victime maintenant plus que consentante pour aller tirer sur le globe charnu gauche et bien dévoiler la rosace brune ; sur laquelle les cinq bouts de doigts se posent. La main écarteuse revient, se loge sous la craquette, positionne le médius sur le pistil dur, et la corrida commence.
    
    Les bouts de doigts tournent en vrillant sur la petite lucarne, poussent plus lourdement, par à coups, comme s’ils voulaient y entrer et l’élargir.
    
    Alors quand le médius se met à titiller en même temps la petite fève rose, Odile se jette encore sur le gros bigarreau pour une sucette bruyante.
    
    - C’est ça ! L’encourage Jean-Jacques. Goinfre-toi son boutoir, tu vas bientôt y passer ! Tu vas adorer te faire enfiler !
    
    Les mots la galvanisent de plus en plus et elle se lâche encore avec un vocabulaire qu’elle n’aurait jamais pensé entendre sortir de sa bouche :
    
    - Je vais te dégorger le poireau mon salaud !
    
    Depuis le temps que la branlette était maintenant accompagnée de pénétrations profondes d’un doigt, puis de deux dans ...
    ... son rectum, le pharmacien, aux paroles qu’elle osait prononcer, se dit qu’elle était mûre pour la chevauchée : et il venait de lui en enfouir trois à travers l’ourlet rond, au diamètre de leurs mandrins encore bien bandés.
    
    - Aaahhhhhh ! Gémit-elle.
    
    Le pharmacien savait y faire, parce qu’ Odette ne ressentit pas de douleur, comme elle l’ avait pensé. Les scélérats, ils l’avaient bien mise en condition ! Elle était remplie, certes, mais le faible coulissement, qu’accompagnait la masturbation de son clito, lui remplissait le corps d’une chaleur inhabituelle. Comment se faisait-il que son mari ne lui ait jamais fait découvrir ce qu’elle qualifierait en ce moment présent de baise ?
    
    Et ce Monsieur Paul qui continuait à lui lustrer la groseille en même temps qu’il lui dilatait la cocarde ; sans qu’elle puisse lui échapper. Parce que les doigts plongeaient plus avant maintenant, tournoyaient par allers et venues, graissaient le tunnel et la faisaient bramer de satisfaction.
    
    Jean-Jacques mit sa bouche dans le cou de la jeune femme, léchant près de son oreille. Il se délectait à l’avance des cris de plaisir qui allaient se faire entendre dans l’atelier sans en sortir.
    
    Le pharmacien avait ouvert le joufflu à deux mains et positionnait son bulbe contre le macaron entrebaîllé. Matant comme un pervers sa lente progression, il salua d’un « voilààààà » sa disparition.
    
    - Oooooohhh ! Se lamenta la sodomisée, toujours surprise de n’y prendre que du plaisir.
    
    - Ca y est, je ...
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