1. Monsieur Paul et les peintres 2


    Datte: 02/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds

    ... dégustera plus tard.
    
    Lui, s’il est raffiné, n’a pas de limites à l’invective verbale et sait mener le jeu.
    
    - Il est bon son gros manche ? Il te remplit bien ?
    
    Elle ne répond pas, un peu désarçonnée, mais il insiste ; ça va être trop bandant de l’entendre se laisser aller.
    
    - T’en veux encore de sa grosse pine ? Hein ?
    
    Le peintre la pilonne maintenant avec vigueur, et ça lui fait tellement de bien qu’elle s’entend répondre :
    
    - Oui j’en veux encore !
    
    - Dis-le que ça te plaît de te faire ramoner la moule ! Dis ça me plaît de me faire ramoner la moule !
    
    - Ca me plaît de me faire ramoner la moule !
    
    Juste avant de râler sous l’orgasme ravageur qui salue sa reddition, due en grande partie à sa propre audace verbale. Elle découvre la puissance du parler pendant l’acte.
    
    Il va être temps de la foutre une première fois se dit Monsieur Paul. Et de ses mains douces sur ses joues, il approche le visage d’ Odette de son membre congestionné et raide.
    
    - Tu vas me pomper le dard maintenant ?
    
    Et il lui pose son gland sur les lèvres ; c’est terriblement pornographique.
    
    - Tu vas me pomper le dard ?
    
    - Oui !
    
    - Fais des phrases mon petit chat !
    
    - Oui je vais te pomper ton dard de salaud ! Dit-elle avec de l’énervement dans la voix.
    
    Cette fois-ci on y est. La jeune femme arrivée sage tout à l’heure est maintenant au diapason de sa vraie nature, et elle meurt d’envie de proférer des gros mots.
    
    - Tu aimes piper des grosses queues ?
    
    - Oui j’aime ...
    ... ça piper !
    
    - Tu aimes le bon lait ? Tu en veux du bon sirop ?
    
    Odette n’est plus Odette ; c’est une chienne d’amour.
    
    - Vas-y ! Donne ton beau morceau, tu vas voir !
    
    Et c’est avec ébahissement qu’il la voit d’abord lui lécher le membre tout autour, les burnes pleines, avant de se précipiter sur le bigarreau pour une succion bien bruyante.
    
    Monsieur Paul est grisé, et malgré l’éjaculation qui s’annonce, prend le temps de regarder encore quelques fois se reproduire la scène, avec des doigts fins qui lui palpent les bourses. Il ignore si c’était une baiseuse mais il est évident qu’elle adore ça.
    
    Aussi, boosté par la frénésie, c’est presque sur le ton d’un ordre qu’ il dit à Jean-Jacques, :
    
    - Maintenant c’est le nourrissage ! Tu la niques fort et on lui envoie la gelée !
    
    Qu’à cela ne tienne. Le concerné la prend à la taille et la pistonne comme un soudard, faisant toujours attention à ce que la caméra du haut filme son nœud qui fourrage la mangue.
    
    Odette jute une première fois, et le peintre, qui sent monter la purée, la laboure encore jusqu’à une nouvelle gerbe de mouille, qui déclenche le flot brûlant de son jus de couilles.
    
    Monsieur Paul n’est pas en reste et grogne longuement avant de tenir la tête de la suceuse pendant qu’il lui remplit la gorge de sauce bien crémeuse et qu’elle n’en perd rien.
    
    - Avale ma cochonne ! C’est un baume pour ta peau !
    
    Odette a adoré que le liquide chaud lui tapisse l’intérieur du vagin ; elle est friande de cette ...
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