Monsieur Paul et les peintres 2
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds
... plaisir.
- A toi ! Lance-t-il au peintre. Bouffe-lui bien le cul ! Fais-moi miauler cette délicieuse enfant !
Et il s’en va prendre la caméra pour ce moment mémorable.
Jean-Jacques est presque en transe de fringale sexuelle pour cette croupe tant convoitée, mais il va devoir se canaliser. Alors, c’est doigt après doigt qu’il presse le médaillon, l’encercle, le pénètre, le parcourt de la langue jusqu’à y glisser la pointe. Il y presse les lèvres pour le baiser en le léchant longuement.
- Mmhh ! Fait la jeune femme, qui découvre le raffinement de la caresse.
Monsieur Paul en profite pour continuer le dialogue verbal :
- Tu aimes ça ? Ca te fait du bien ?
Odette ne voit plus de raison de ne pas répondre ; de toute façon ça l’excite et ces deux saligauds savent y faire.
- Oui, c’est bon !
S’en suit la mise en action des dix doigts dans le fossé au trésor. Chacun d’eux enfile à son tour le petit pétale de rose, s’enlisant et lubrifiant de plus en plus loin.
Et puis le peintre lui fourre lentement son pouce :
- Ahhhh ! Râle-t-elle, toujours poussant son cul à sa rencontre.
- C’est ça ma poupette ! L’encourage Monsieur Paul. Tu en veux encore de ce beau doigt ?
- Oh oui !
- Tu vas voir, tu ne vas pas regretter d’être venue !
Pendant que Jean-Jacques tourne son pouce dans tous les sens, il en profite pour élargir petit à petit l’ampleur de la rotation, faisant en même temps couler un long filet d’huile dans le conduit qui se dilate.
Le ...
... pharmacien prend à nouveau l’initiative, s’aidant de ses doigts vicieux pour la positionner au bord du lit :
- Mets-toi à quatre pattes et écarte bien tes cuisses !
Puis il fait signe du menton au peintre pour qu’il règle la hauteur de la caméra.
Odette se met docilement comme le demande Monsieur Paul.
- A moi de te faire la pastille ! Décrète-t-il, utilisant alternativement du doux et du cru, pour la mordre dans sa libido. Et toi mon cochon fais-toi téter la pine !
Odette encaisse encore le propos d’un frisson le long de la colonne vertébrale. Elle connaît bien tous ces termes, mais ignorait l’effet produit à les entendre.
Jean-Jacques s’agenouille devant elle, la matraque tendue menaçant ses lèvres entrouvertes. Et quand elle l’embouche, il frôle toute la peau à sa portée, fixant les doigts du pharmacien qui commencent à s’animer.
D’abord, celui-ci s’assoit lui aussi sur le bord du lit, contre sa hanche droite et à l’envers d’elle, les mains brillantes d’ huile. Puis il pétrit fermement les rotondités en les écartant de plus en plus loin l’une de l’autre, dégageant bien l’œilleton et la fente embroussaillée, pour sa satisfaction visuelle comme pour l’objectif qui filme.
Et puis les doigts deviennent pénétrants. Ils forent à tour de rôle, s’enfoncent en vrillant pour napper de lubrifiant le tunnel serré, allant toujours plus profond.
- Mmmhh ! Fait Odette en offrant sa croupe.
Monsieur Paul en profite pour y glisser un deuxième doigt ; tout en ...