1. Monsieur Paul et les peintres 2


    Datte: 02/01/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mectôtverseau, Source: Hds

    Jean-Jacques doit se contenir. Après tout, comme dit son ami, il ont tout leur temps. Et maintenant, les plaintes de la jeune femme sont tellement enivrantes qu’il faut absolument la faire chanter à pleine voix. Il s’agenouille devant le lit et loge son torse dans le compas ouvert. Ses mains brûlantes se posent en haut des cuisses, et ses lèvres font un ballet tout autour du string, Odette soulevant le bassin pour une rencontre qui ne se fait pas. Et puis, la sentant au bord de l’hystérie, il plaque enfin sa bouche sur le tissu trempé de sécrétions odorantes. S’en suit un oh de libération de la bacchante.
    
    Par-dessus le tissu, il masse la vulve de la bouche, en lèche le sillon apparent , et finit par écarter le string.
    
    Disparu un petit moment sans éveiller les soupçons d’ une Odette toute aux caresses prodiguées, Monsieur Paul est allé derrière le grand paravent pour mettre en marche la caméra d’en haut et en régler le zoom. Le spectacle de cette langue qui balaie la faille cernée de sa fourrure taillée, jusqu’à l’œillet fripé ou elle broute et s’enfonce en pointant est admirable. Et quand elle lutine la perle goulûment pendant qu’ une paume pelote les nénés, Jean-Jacques s’ offre les délices d’un majeur cerné de convulsions spasmodiques du trou de balle embroché.
    
    Odette gémit de plus en plus fort et le pharmacien a juste le temps de revenir pour voir le ventre bondir et écouter la gorge hurler tellement le plaisir était fort.
    
    Une légère accalmie succède à ...
    ... l’orage, mais pas de signe de lassitude chez Odette ; produits du pharmacien ou jouisseuse convulsive ?.
    
    Le peintre est maintenant tellement au bord de la rupture que Monsieur Paul le laisse faire. Vu les dispositions naturelles de la jeune femme imprudente, il va pousser encore leur avantage en lui faisant faire des choses qu’elle n’a certainement jamais faites.
    
    Jean-Jacques met du gel lubrifiant en douce, tire doucement Odette vers lui, la croupe au bord du lit et les jambes dans le vide tellement celui-ci est surélevé. Oui, c’est la bonne hauteur se dit-il en touchant de sa grosse prune les chairs gluantes du berlingot. Avec lenteur, il avance vers le sanctuaire. L’entrée de l’ogive tire un « aah » de surprise à la jeune femme, mais d’une poussée lente et volontaire, il met son imposante épée au fourreau.
    
    Il est temps d’entamer les échanges verbaux, qui vont eux aussi être enregistrés, pour que ces deux malotrus puissent les lui faire écouter plus tard et la mettent en situation de faiblesse ou d’excitation de voyeuse ; les deux sont jubilatoires.
    
    Il lime longuement en lui tenant la taille, bien comprimé dans la gaine chaude.
    
    A mon tour, se dit le pharmacien, qui met un coussin sous le cou de la jeune femme pour lui renverser la tête à peine en arrière, avant de s’agenouiller près de son crâne, le gourdin pas loin de ses lèvres de turluteuse.
    
    Voilà, se dit-il, l’ami Jean-Jacques et moi on va se regarder se faire faire du bien par ses deux bouches ; la troisième ...
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