1. La petite robe dans la vitrine


    Datte: 31/12/2020, Catégories: fhh, hagé, inconnu, essayage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fdanus, couple+h, Auteur: Pazapa, Source: Revebebe

    ... ordinaire pour la divine diablesse de se contenter de dérouler mécaniquement ce fourreau élastique sur mon vit congestionné. Elle empaume mes bourses et laisse ses ongles longs gratter furtivement cette zone érogène, du scrotum au périnée.
    
    — Vous voilà bien couvert, bel étalon, permettez-moi maintenant d’orienter mes largesses vers mon amant de cœur.
    — C’est tout naturel, belle amante de corps, je m’étais un instant laissé aller à la rêverie utopique d’une osmose plus totale. Occupez-vous de Jules, j’attendrai juste le signe de votre désir.
    
    La belle, dans sa nudité magnifique, s’agenouille devant son amant et, enfouissant sa tête entre ses cuisses, se met, du moins je l’imagine, à engloutir le souvenir de sa virilité.
    
    Je reste pantois, ébahi, émerveillé devant son impudeur exhibée à mes yeux. Sa croupe tendue comme pour mieux accrocher mon regard se balance lentement au rythme de sa fellation. Je reste debout derrière elle, hypnotisé par sa vallée charnelle et son oasis sombre prête à accueillir le voyageur d’un soir. Mon excitation est à son comble et, dépassant le stade purement physique, congestionne toute ma pensée vers cette cible alléchante.
    
    La magie de la bouche d’Elisa est en train d’opérer. Jules commence à perdre à peu de sa prestance. Son souffle s’accélère. Ses mains caressent le visage de sa femme, ses doigts viennent se faufiler autour de sa bouche, se mêlant étroitement à l’intrusion de la langue frétillante. Les gémissements de plaisir deviennent ...
    ... plus rauques, les gestes plus désordonnés… Elisa se relève brusquement et, cherchant sa respiration ;
    
    — Alan, prenez-moi maintenant, doucement au début, je vous prie…
    
    Agrippant ma queue, elle m’attire vers elle. Nous voilà tous les deux à genoux l’un derrière l’autre, elle sur les coussins, moi à même le tapis. Mes pensées tournent dans mon esprit dans le désordre le plus total.
    
    Je ne la connais pas. Elle est belle, attirante, bandante, intelligente, du moins je le pressens. Je vais la baiser devant son mari, c’est fou, il va me regarder défoncer le cul de sa femme, je préfèrerais mourir sur place que renoncer à cet instant, à ce plaisir suprême.
    
    — Alan, me dit Jules essoufflé, le teint cramoisi par la lente ascension de sa jouissance, dites-moi ce que vous ressentez, relatez-moi votre plaisir, faites-moi revivre ce bonheur perdu… Hummm, comme c’est bon, mon amour.
    
    Que m’arrive-t-il donc ? Où suis-je ? Que vois-je ? Qu’ouïs-je ? Dans quel état suis-je ? Dans quel état j’erre ? Ce bonhomme me demande des trucs pas possibles. J’ai envie de tout laisser tomber… mais qu’est-ce que je raconte, laisser tomber la belle Elisa, son cul magnifique, sa vallée délicieuse, son corps symphonique, ses seins et ses hanches. Une flèche me traverse l’esprit et me fait éclater de rire. Intérieurement, bien sûr. L’air d’un vieux cantique que, gamin, je me plaisais à parodier : « Les saints et les anges et même le p’tit jésus… » etc. Mais je dérape, je ne vais tout de même pas leur ...