Incarcérée
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
ff,
gros(ses),
fdomine,
Oral
69,
fgode,
uro,
initff,
Auteur: Junon, Source: Revebebe
... pimbêche, cela fait des semaines que tu nous mates avec Yasmina, tu crois que je ne t’ai pas repérée. Tu veux que je te dise, tu n’es pas très discrète, tu fais semblant de dormir mais tu n’arrêtes pas de nous mater… Alors oui ou non, ça t’excite de voir des femmes ?
— Non.
— Pourquoi non ? Tu as quelque chose contre les lesbiennes ?
— Non.
— Alors tu en croques ?
— Non.
— Tu parles ! Je suis sûre que tu en croques. Pourquoi regardes-tu si ça ne te plait pas ?
— Je ne sais pas.
— Je vais te le dire, moi, c’est parce que t’aimerais bien en croquer, mais que t’oses pas. D’ailleurs, pourquoi tu rougis quand je te parle de ça ? C’est bien parce que t’es pas claire sur le sujet !
Elle avait raison, j’avais les joues en feu. Elle était toujours assise sur mon matelas, tout à côté de moi, j’avais l’impression que je sentais irradier la chaleur de son corps. Mais je n’avais qu’une envie, c’est qu’elle s’en aille et qu’elle me laisse tranquille. Mais elle resta là un long moment, sans rien faire et sans rien dire, je savais qu’elle me regardait.
— Ma pauvre fille, tu fais pitié, finit-elle par conclure. Si t’étais pas aussi coincée, je pourrais te faire beaucoup de bien… Je sais donner du plaisir à une femme.
— Et Yasmina, que penserait-elle, Yasmina ? ai-je lancé pour faire diversion.
— Qu’est-ce que ça peut bien te foutre. Tu ne l’aimes pas Yasmina. Tu serais pas un peu jalouse ? Occupe-toi donc de ta chatte et laisse les autres en paix.
J’étais en situation de ...
... panique, elle était beaucoup trop près et j’avais peur qu’elle passe à l’acte. Tous mes sens étaient en alerte.
— Allez, comme tu voudras ma biche, mais réfléchis bien et, si un jour tu changes d’avis, viens me retrouver dans mon lit. Je t’accueillerai à bras ouverts, j’ai bien envie d’essayer avec une petite bourge.
Elle se leva et me laissa seule, elle alla se coucher sans rien dire. J’étais à la fois soulagée et quelque part déçue qu’il ne se soit rien passé. Je ne parvenais pas à m’endormir, je me retournais sans arrêt dans mon lit. J’entendais Monique ronfler, et cette proximité m’était insupportable. Cette nuit-là fut démoniaque, tous les fantasmes que je n’avais jamais eus ressurgirent d’on ne sait où, tous mes manques, toutes mes envies les plus sordides.
Finalement, au petit matin, je finis par glisser ma main entre mes cuisses et par me caresser en repensant aux deux gouines. C’est la première fois de ma vie que je trouvais mon plaisir en pensant ainsi à des femmes.
Le lendemain matin, comme à son habitude, Monique se passa un gant dans la figure et retira sa chemise de nuit avant de s’habiller. Elle était vraiment sans gêne, mais pas plus que d’ordinaire. Elle n’hésitait jamais à se déshabiller devant nous pour faire un semblant de toilette, elle n’avait aucune pudeur. C’est pourquoi je connaissais son corps par cœur, je l’avais vu tellement de fois… Mais cette fois-ci c’était bien différent, je la regardais d’une toute autre façon, je ne dirais pas ...