Incarcérée
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
ff,
gros(ses),
fdomine,
Oral
69,
fgode,
uro,
initff,
Auteur: Junon, Source: Revebebe
... sa langue. Mon clitoris tout gonflé roulait sous ses doigts fiévreux. Elle me lécha de façon experte, ce qui me fit un bien fou et je pris beaucoup de plaisir à sentir ses doigts fouiller ma chatte. Sa langue chaude investit mon abricot, elle me lécha avidement et me procura la sensation d’être goûtée, dévorée. Elle me rendit un grand hommage qui me fit jouir comme une malade.
Après cela, ce fut mon tour de lui donner plein de plaisir. Elle me prit la tête et me plaqua sans précaution contre sa vulve épaisse, au risque de m’étouffer. Mais j’étais prête à me soumettre entièrement à ses ardeurs. J’aurais même voulu qu’elle aille plus loin et qu’elle me souille de son urine, je ne pensais en fait qu’à ça en la léchant et j’étais plus excitée que je ne l’avais jamais été de toute ma vie.
Nous nous sommes léchées, caressées, frottées l’une à l’autre pendant presque toute la nuit, et ce n’est qu’à contre cœur que j’ai enfin rejoint ma couche.
Les jours qui suivirent, nous avons baisé plus que de raison. Je me sentais devenir lesbienne, au parloir mon mari m’indifférait. J’avais presque envie qu’il ne vienne plus me voir. Il me trouvait vraiment changée et s’inquiétait tout d’un coup pour ma santé mentale.
Le pire dans tout ça, c’est que je n’étais pas encore tout à fait satisfaite. Quand je voyais Monique assise nue sur la cuvette et que j’entendais son urine s’écouler dans les toilettes, ...
... c’était pour moi à chaque fois une véritable torture. J’aurais voulu être aspergée de son urine. Ce fantasme devint au fil des jours obsédant mais je n’ai malheureusement pas osé concrétiser en partageant avec elle cette envie…
Notre idylle a encore duré une dizaine de jours. J’allais la retrouver toutes les nuits et nous nous dévorions, partout, je mangeais même souvent ses fesses. J’eus droit, moi aussi, à la brosse et je lui en fis également profiter.
Mais tout fut fini d’un coup quand Yasmina revint de l’hôpital. Ma maîtresse m’abandonna de suite et Yasmina, comprenant qu’il s’était passé quelque chose en son absence, voulut me faire la peau. Monique l’en empêcha et, selon notre contrat, assura tant bien que mal ma protection face à cette furie jalouse. Néanmoins, Monique se tint désormais sagement à l’écart et il ne se passa plus rien entre nous, plus le moindre petit bisou, plus aucun attouchement, encore moins de partie de broute-minou.
Je tombai alors peu à peu à moitié en dépression et mon mari mit ça sur le compte de la vie carcérale. De toute façon, je bénéficiais d’une remise de peine et j’allais bientôt sortir…
C’est à peine si nous nous dîmes au revoir Monique et moi, je partis un peu comme une voleuse, déçue par son attitude envers moi.
Depuis j’ai rejoint le monde libre et je me tiens à carreau. La vie en prison est trop horrible pour que l’on ait envie d’y retourner.