Incarcérée
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
ff,
gros(ses),
fdomine,
Oral
69,
fgode,
uro,
initff,
Auteur: Junon, Source: Revebebe
... de la petite veilleuse, qui restait allumée en permanence, faisait que, une fois habituée à l’obscurité, on y voyait presque comme en plein jour.
Yasmina était allongée sur le matelas, sa nuisette relevée tout en haut de son ventre et ses jambes largement écartées, Monique était entre ses cuisses, en train de jouer à broute-minou. Je vis distinctement Yasmina se mordre les lèvres pour ne pas crier, visiblement elle prenait beaucoup de plaisir à ce léchage. Le cunni dura encore un long moment. Ensuite la grosse bonne femme prit dans ses mains une brosse à cheveux et en enfonça le manche dans le ventre de sa compagne. Je n’avais jusqu’alors jamais vu de gouines œuvrer en réel. Mes seuls contacts avec le monde lesbien, c’était dans les films pornos que nous regardions de temps à autres avec mon mari.
Un bruit de pas dans le couloir sépara tout d’un coup les deux femmes. Yasmina regagna son lit en toute hâte et Monique rabattit vers elle la couverture. Mais, la ronde une fois passée, elle fut de nouveau rejointe par son amante. Monique se sépara alors prestement de sa chemise de nuit pour se mettre entièrement nue sur sa compagne. Tout en continuant à masturber la jeune femme avec la brosse, elle lui présenta son entrecuisse pour que celle-ci la lèche. Yasmina ne fut pas en reste, elle dévora la vulve de la grosse femme qui s’était mise en 69. Leurs ébats durèrent encore un long moment, une éternité pour moi qui faisait semblant de dormir. Cette nuit-là, elles ne se ...
... séparèrent qu’à la ronde suivante après avoir, semble-t-il, beaucoup joui.
Inutile de dire que le lendemain, quand j’ai croisé le regard de mes deux comparses, j’ai eu toutes les peines du monde à rester naturelle.
Ainsi, c’est comme cela qu’elles calmaient leur libido, grâce à ces rapports lesbiens. Monique était là depuis presque deux ans, Yasmina depuis plus de dix mois : c’est certain, il fallait bien qu’elles se satisfassent d’une manière ou d’une autre, mais je pensais qu’elles le faisaient par des attouchements beaucoup plus solitaires ! Je savais que les rapports homosexuels étaient fréquents en prison, c’était même une de mes angoisses lorsque j’avais pris conscience que je ne pourrais pas échapper à mon enfermement. Je paniquais à l’idée qu’une femme puisse me toucher ou m’obliger à avoir des rapports contre nature avec elle. Dans ma famille, l’homosexualité a toujours été considérée comme une tare. De là à imaginer que j’aurais à côtoyer deux gouines dans ma propre cellule et qu’elles feraient l’amour à quelques pas de moi…
Les semaines qui suivirent, je me mis à épier attentivement les deux lesbos. Mine de rien, Monique était très protectrice vis à vis de Yasmina, dans leur couple c’était elle l’homme. Dès qu’elle le pouvait, elle touchait son amie, sous un prétexte ou sous un autre. Elle la frôlait ou elle posait sa main, tantôt sur un bras, tantôt dans son dos, des petits attouchements imperceptibles si l’on n’y prenait pas garde. Yasmina était beaucoup moins ...