Toute la vérité sur le mystère du 123 boulevard Voltaire
Datte: 29/12/2020,
Catégories:
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Partouze / Groupe
fouetfesse,
Humour
policier,
historiqu,
Auteur: Charlie67, Source: Revebebe
... l’étreinte de ce couple pervers, ne prit pas le temps de la réflexion, fonça vers le salon pour reprendre ses habits et fuir cet appartement de sodomites dissolus et dépravés. Nu et sans discrétion, il dévala les escaliers, ce qui éveilla l’intérêt d’Adrienne pour qui tout bruit alertait ses sens. Elle eut juste le temps d’ouvrir la porte palière pour constater que le recto du policier ne déparait pas le verso aperçu la soirée précédente.
La journaliste n’avait pas perdu son temps et ses investigations l’avaient menée à s’intéresser à la boulangerie du rez-de-chaussée. Elle s’y présenta en tant que nouvelle voisine et fut fort correctement accueillie comme potentielle pratique. Elle pérora et babilla, comme à son habitude et apprit que si l’artisan commençait son ouvrage vers deux heures, le commerce fermait vers seize heures. N’habitant pas sur place, le couple tenant la boutique n’avait donc jamais été en butte au problème des bruits et d’ailleurs s’en moquait totalement.
Ses investigations journalistiques l’avaient fait fréquenter des milieux peu recommandables, mais source de bien des solutions en cas de problèmes. C’est ainsi qu’Adrienne se trouvait fort opportunément en possession d’un rossignol et savait s’en servir. Avec le susdit instrument, elle n’eut aucun problème pour crocheter la porte de la boulangerie et y pénétrer nuitamment en vue d’une inspection détaillée.
À l’heure dite, elle entendit effectivement les bruits, mais ils étaient comme ...
... feutrés, beaucoup moins audibles que dans son appartement du premier. Une drôle de sensation la turlupinait, elle ne savait quoi, une impression d’être à l’étroit. Une intuition lui fit arpenter la boutique de l’entrée au fournil. Elle y fit dix-huit pas. Elle courut vers son appartement et mesura la même trajectoire et elle fit vingt-quatre pas. Il y avait un problème !
Le condé, malgré ses déconvenues, continuait son enquête, et se disait que chez madame et mademoiselle Bardet, les mésaventures étaient impossibles. Comme représentantes du corps enseignant, elles ne pouvaient qu’être « tempérance et modération ». C’est confiant qu’il heurta leur porte.
Une accorte dame lui ouvrit et après qu’il eut décliné son identité, l’invita à pénétrer dans l’appartement. Toutefois, un péremptoire « les patins » doucha son optimisme. Bien sûr, cet appartement exhalait l’encaustique et la lavande, un cocon féminin qu’il avait du mal à violer. Il fut convié à s’asseoir dans un fauteuil et à procéder aux constatations. Tout au long de la soirée, il releva des bruits, mais forts ténus à cet étage et se perdit surtout dans ses pensées.
La mère et la fille assises en face de lui, chacune plongée dans une lecture, ne lui prêtaient qu’une attention distraite. Il regardait mademoiselle Bardet, Madeleine pour les intimes et la trouvait tout à fait à son goût et de plus, les petits coups d’œil qu’elle lui portait prouvaient que cet intérêt était partagé. La reine mère regardait ces échanges ...