1. Toute la vérité sur le mystère du 123 boulevard Voltaire


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, hbi, extracon, uniforme, hsoumis, fdomine, soubrette, double, Partouze / Groupe fouetfesse, Humour policier, historiqu, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... le palier qu’il attendit le retour du conjoint. Celui-ci arriva peu de temps après et se montra on ne peut plus cordial. Il le fit entrer et lui fit prendre place au salon. Les époux s’absentèrent, le laissant seul, il prépara comme la veille carnet, crayon et montre pour effectuer ses relevés.
    
    C’est madame Mercier qui revint en premier et vaqua à ses occupations tout en lorgnant de temps à autre vers le pandore. Le mari les rejoignit quelque temps après, une bouteille et des verres à la main.
    
    — Vous êtes notre invité, cher monsieur.
    — Je suis en service, répondit-il
    — Allons, allons, détendez-vous, nous ne dirons rien à personne.
    — Mais…
    — N’est-ce pas, ma chérie, nous ne dirons rien. D’ailleurs, comment trouves-tu notre invité ?
    
    La jeune femme prit le temps de la réflexion, examina d’un œil gourmand le policier, puis dit avec un petit sourire coquin :
    
    — Appétissant.
    — Alors, va t’apprêter, tu dois bien cela à notre hôte.
    
    Puis se retournant vers Jean-François :
    
    — Vous reprendrez bien un petit verre, cher ami ?
    
    Le brigadier sentait la situation lui échapper, quel était donc cet immeuble où la lubricité suintait à chaque étage, il s’enfonça un peu plus dans le sofa quand l’épouse revint. Foin de la robe de coton et du sage chignon. La brune avait défait ses cheveux qui tombaient sur ses seins qu’ils masquaient partiellement. De vêtements, elle avait uniquement gardé son corset et ses bas. Cela accentuait la minceur de sa taille et le fuselé de ses ...
    ... jambes. Cette vision provoqua un émoi que Jean-François tenta en vain de masquer à l’époux. Celui-ci, d’ailleurs goguenard, observait la scène le sourire aux lèvres.
    
    Quand la femme s’agenouilla devant le roussin et défit son vêtement, il jeta un regard angoissé au mari qui arborait toujours son sourire et, même, levait son verre semblant porter un toast. L’épouse eut tôt fait de dénuder l’argousin et de l’emboucher pour donner à son sceptre la forme désirée. C’est par cet appendice qu’elle l’empoigna pour le diriger vers la chambre conjugale toujours suivie de l’époux qui n’avait oublié ni verres ni bouteille.
    
    Elle l’étendit sur la couche maritale et le chevaucha. La situation lui semblait des plus insolites surtout quand il vit l’homme de la maison se dévêtir puis se positionner derrière son épouse pour l’embrocher soudainement par l’anus. Curieuse sensation que d’être accompagné pour investir la belle, situation qui provoqua bientôt son extase.
    
    Les trois, maintenant couchés côte à côte reprenaient leurs sens et pour la femme ses envies. La main sur le sexe de Jean-François, elle reprit ses caresses, ce qui provoqua un nouvel émoi. De par sa fonction, missionné il était, de par son envie, missionnaire il devint. Il besogna allègrement la légitime devant l’œil intéressé du conjoint. Tout à son exaltation, ce n’est que quand il sentit un objet oblong effleurer son propre anus puis le poids de l’homme sur lui, qu’il comprit la situation.
    
    D’un saut de carpe, il brisa ...
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