1. Toute la vérité sur le mystère du 123 boulevard Voltaire


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, hbi, extracon, uniforme, hsoumis, fdomine, soubrette, double, Partouze / Groupe fouetfesse, Humour policier, historiqu, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... mais un homonyme. Ce brave homme étant veuf et n’ayant eu que cette fille, céda immédiatement à son caprice quand elle lui dit vouloir louer le premier étage droit du 123 boulevard Voltaire.
    
    L’après-midi du premier jour d’enquête, le jeune flic se présenta à la porte de madame de Rabutin et lui exposa sa requête : pouvoir suivre chez elle toutes ces manifestations étranges, les minuter et en consigner toutes les circonstances et particularités. La maîtresse de maison acquiesça avec joie, ces bruits lui portant sur les nerfs depuis un bon moment.
    
    Elle installa confortablement le jeune homme au salon et pria Lisette de préparer une collation, puis lui demanda d’expliquer son travail.
    
    — Jeune homme, ma collaboration vous est acquise, comment comptez-vous procéder ?
    — Je vais écouter, madame, je vais enquêter et je vais trouver.
    — Quel beau programme, mon jeune ami, ces bruits me font peur. Me protégerez-vous ?
    — Madame, la police est là pour protéger tous les citoyens.
    — Certes, brigadier, mais moi, je suis si seule et si faible.
    
    Une lente reptation transversale avait rapproché madame de Rabutin du roussin qui, conscient que son charme opérait, astiquait copieusement sa moustache en impériale. La dame, d’une physionomie agréable et en dépit d’être de vingt ans son aînée, n’était pas à dédaigner.
    
    — Me protégerez-vous, Jean-François ? Puis-je vous appeler ainsi ?
    — Certes, madame.
    — Appelez-moi, Élise.
    — Certes, Élise.
    
    L’argousin se fit agripper par le ...
    ... revers de son veston et happer par un baiser fougueux de la veuve.
    
    La chose fut prestement engagée et quand Lisette entra au salon avec les amuse-gueule, elle put admirer le cul nu d’un policier, « investiguer » l’entrejambe de sa patronne. Vu la carence d’activité physique de sa patronne, elle préféra déposer discrètement son plateau et se retirer pour laisser Madame « jouir » du moment.
    
    Bien sûr, l’état de manque d’Élise ne permit pas à la séance si prompte conclusion et ils récidivèrent toute la soirée jusqu’à l’épuisement du flic, mais non celui de la femme qui en aurait volontiers redemandé une petite dose. Vers minuit, Jean-François, complètement essoré, quitta l’appartement et constata que son enquête n’avait pas avancé.Pas grave, se dit-il,demain est un autre jour. Il lui fallait maintenant se reposer…
    
    Pendant ce temps, Adrienne avait emménagé dans son appartement du premier, pour écouter les bruits. En ce premier jour, ses observations sonores furent quelque peu « polluées » par les activités des personnes habitantes à l’étage supérieur. Activités qui ne laissaient d’ailleurs aucun doute sur leur nature. Sachant que le policier faisait ses constatations à ce moment même à cet endroit, elle se dit qu’elle n’allait pas être beaucoup concurrencée dans sa propre enquête.
    
    Les bruits commencèrent effectivement à 18 heures et montèrent crescendo pour atteindre leurs paroxysmes entre 20 et 22 heures puis décrurent doucement pour s’éteindre vers minuit. La belle ...
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