1. Toute la vérité sur le mystère du 123 boulevard Voltaire


    Datte: 29/12/2020, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, hbi, extracon, uniforme, hsoumis, fdomine, soubrette, double, Partouze / Groupe fouetfesse, Humour policier, historiqu, Auteur: Charlie67, Source: Revebebe

    ... démolition du mur qu’elle supposait faire écran à la résolution de l’énigme. Malheureusement, son mètre soixante et ses quarante-huit kilos l’empêchèrent de concrétiser ses desseins. Il lui faudrait un manouvrier pour réaliser cet ouvrage.
    
    Aussi, elle connaissait cette gent, qui le soir même, dans un quelconque estaminet révélerait le pot aux roses pour un simple pot-de-vin ou pour la vantardise d’un coup de gueule. Non, décidément il lui fallait un homme discret et là, elle eut une idée. Elle connaissait l’homme de la situation et échafaudait déjà une idée pour s’assurer de sa discrétion.
    
    Jean-François n’en était plus à une épreuve près. Enquêter devenait pour lui un sacerdoce, une quête expiatoire, où, il s’enfonçait avec abnégation, toujours prêt à payer de sa personne. Il se rendait compte que cette semaine passée, si elle lui avait beaucoup appris sur les perversions de ses contemporains, n’avait pas fait progresser sa recherche d’un iota. Il se voyait mal, dans quelques jours faire un compte-rendu circonstancié à son supérieur.
    
    Adrienne, maintenant une figure connue de l’immeuble et comme tout journaliste le fait, s’attacha l’amitié des petites gens pour glaner des renseignements. Lisette et Fanny devenaient ses indics, ses complices et, avec elles, elle élabora une stratégie.
    
    Jean-François, en cet ultime soir ne se faisait plus aucune illusion en abordant les combles, étape finale de ses recherches. Le résultat, négatif sur toute la ligne, ne l’avait pas ...
    ... fait avancer d’un pouce, nada, que dalle, rien de rien… ! Il ne lui restait plus qu’à enquêter chez les occupantes des chambres de bonnes.
    
    Cependant, cette audition ne le rebutait pas. Avant de braver les foudres de son supérieur, autant profiter du moment présent. Lisette et Fanny étaient plus que de fieffées coquettes et il comptait profiter de cette dernière soirée avant d’affronter sa hiérarchie.
    
    La chose lui parut toute naturelle quand les deux jeunes femmes l’entraînèrent dans leur antre avec force amabilités. Cela ne lui parut pas anormal, mais dans l’ordre de ses prétentions, un effet de son charme naturel, évidemment. D’autant moins quand Fanny le « mignardait » de petits bisous et que Lisette s’attaquait à sa braguette. Encore moins quand une langue chaude investit ses amygdales et qu’une bouche, non moins brûlante, goba ses génitoires.
    
    Un instant de bonheur absolu où le roussin, les yeux fermés, se perdait, un instant intemporel où il nageait vers un nirvana lubrique. Un instant où il perçut comme un grand flash…
    
    Un grand flash… !
    
    Un grand flash ?
    
    Cette odeur de magnésium. Il rouvrit les yeux, juste pour voir Adrienne derrière un trépied surmonté d’une chambre noire. La jeune femme retira prestement la plaque sensible et s’enfuit dans les escaliers.
    
    Adrienne avait été précocement initiée à l’art de la photographie par tonton Félix. M. Félix Tournachon, ami intime de M. Leblanc, avait élevé cette technique, pour le moment archaïque, au rang d’un ...
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