1. À nos corps défendants


    Datte: 27/12/2020, Catégories: fh, complexe, pénétratio, Humour Auteur: Alphecar, Source: Revebebe

    ... pourtant, maintenant, monter et descendre, et se frotter à mon pénis furieusement dressé. Je m’empresse de faire savoir à Isabelle que je sens bien ce qu’elle est en train de faire et que, pour autant que j’apprécie l’effort, il ne contribue pas décisivement à faire baisser la température ambiante.
    
    — Isabelle, tu sais… C’est déjà difficile, ce que tu me demandes, alors on devrait peut-être…
    
    Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que ses fesses remontent un peu, se pressent un peu plus contre mon abdomen et puis, aussitôt, redescendent sur mon sexe. Je sens au bout de celui-ci une région un peu plus humide, frisée et chaude… et je m’enfonce très légèrement. Isabelle émet un gémissement presque inaudible, avant de dire non une vingtième fois, et de se retourner vers moi.
    
    — Moi aussi, j’en ai très envie, mais s’il te plaît… il ne faut pas.
    
    Je dois avoir l’air un peu dépité, alors elle me fait un baiser plus passionné que les précédents et se serre contre moi. Nous ne bougeons plus pendant quelques instants et je finis par apprécier la tendresse, tout bien considéré.
    
    Et puis, alors que je ne m’y attendais pas du tout, d’un mouvement énergique, elle roule sur le dos et m’attire sur elle. Je sens ses cuisses s’écarter et ses genoux remonter. Ses cuisses sont un peu fortes à mon goût, mais très douces. Et je sais parfaitement comment interpréter leur nouvelle position.
    
    — Viens, maintenant.
    
    J’hésite encore un peu et, le cœur battant à 120 pulsations/minute, ...
    ... je descends un peu de façon à ce que l’extrémité de ma queue soit en contact avec la vulve d’Isabelle, que je sens bien lubrifiée et dans laquelle je vais très bientôt m’enfoncer.
    
    — Viens, s’il te plaît. J’en ai envie.
    
    Alors, très doucement, je la pénètre.
    
    — Oh oui…
    
    Mon sexe coulisse sans peine, dans un milieu délicieusement inconnu et nouveau, très agréablement étroit. Une ride de concentration traverse le front d’Isabelle, dont les yeux sont maintenant fermés et la bouche au contraire légèrement ouverte. Je me revois en début de soirée, dans la voiture, en train de me dire que nous allons nous dire au revoir sans nous être dit rien d’important, et l’abîme entre cette réflexion d’alors et ce qui est en train de se passer maintenant me semble vertigineux.
    
    De mes mains passées sous ses fesses et de mes épaules, j’encourage Isabelle à monter encore un peu plus ses genoux pour que je puisse la pénétrer plus profondément.
    
    Et puis je commence à m’activer, doucement, régulièrement, puis avec quelques changements de rythme aléatoires, en essayant de rester attentif à ses petits gémissements, plutôt rares, mais qui me donnent de bonnes indications.
    
    Je pense qu’elle n’a pas dû connaître d’orgasme depuis très longtemps, mais ce soir, je vais tout mettre en œuvre pour la faire jouir, d’abord parce qu’elle le mérite, ensuite parce que j’ai le pressentiment qu’elle me fera connaître alors un plaisir au départ insoupçonnable. J’ai tout mon temps. Et tandis que je ...
«12...6789»