1. À nos corps défendants


    Datte: 27/12/2020, Catégories: fh, complexe, pénétratio, Humour Auteur: Alphecar, Source: Revebebe

    ... comportement sur le sien, j’ai enlevé chaussures, chaussettes et pantalon, mais gardé tout le reste, y compris la chemise déboutonnée.
    
    L’un contre l’autre, sur le côté, nous nous embrassons. Elle me fait comprendre par ses efforts que je dois enlever ma chemise et ses mains caressent maintenant tout le haut de mon corps, activement, mais avec légèreté, sans précipitation. Je lui demande d’enlever son chemisier, ce qu’elle fait. Je passe les mains dans son dos pour dégrafer au jugé son soutien-gorge mais elle m’arrête, avant d’éteindre la lampe de chevet. Aussitôt, elle enlève elle-même le dernier tissu qui protégeait ses seins de mes regards. Mais la pénombre les protège encore, en tout cas, jusqu’à ce que mes yeux s’habituent. Ses seins sont en effet petits, mais je vois que les mamelons sont tendus. La situation est complètement surréaliste : j’ai l’impression de redevenir tout petit et de découvrir mon institutrice nue. C’est comme l’assouvissement d’un plaisir défendu.
    
    Isabelle ne prononce toujours pas un mot et je commence à me demander jusqu’où peut aller ma tendresse. J’ai maintenant envie de lui laisser exprimer toute sa créativité, mais je voudrais bien connaître les intentions de ma partenaire. Pour en avoir le cœur un peu plus net, je commence à embrasser différents endroits de son corps, en commençant par les épaules et en essayant de m’approcher des seins, qui ont l’air d’une zone interdite.
    
    N’y tenant plus, je soulève l’un d’entre eux avec la main et ...
    ... je l’attire à mes lèvres. Son premier mouvement est pour refuser et je l’entends dire un non très faible, mais sans plus de résistance, elle laisse son mamelon aux caresses de mes doigts et, très vite, à celles de ma bouche. C’est alors que, pour la première fois de la soirée, tout bas, elle fait part oralement de sa satisfaction.
    
    — Oui. Oui. Ouiii.
    
    Je me sens encouragé, et lui dis, car c’est un sentiment que j’aime bien partager, que j’ai envie d’elle. Elle m’embrasse à nouveau, sans rien dire, ce qui fait que je ne sais plus trop sur quel pied danser. Après un bref instant de ce qui a dû être de la réflexion, elle s’écarte un peu et je l’entends, plus que je ne la vois, enlever sa culotte.
    
    Je vais sans doute voir son sexe et j’ai du mal à y croire. Je l’imagine avec une chatte assez bien pourvue sur le plan pileux, vu qu’elle n’est pas du genre à l’avoir rasée en prévision d’une nuit avec un homme. Mais après ce geste prometteur, elle m’annonce :
    
    — On ne pourra pas faire l’amour.
    — Mais… pourquoi ? Tu n’en as pas envie ? (Je me dis qu’elle doit avoir ses règles, mais en l’occurrence je préfère énoncer une autre hypothèse que celle que je juge la plus probable.)
    — C’est pas ça. Je ne veux pas qu’on fasse l’amour le premier soir, c’est tout.
    
    Nonobstant le fait qu’il ne s’agit pas du premier soir (mais je ne suis pas d’humeur ergoteuse, de toute façon), je trouve un peu inconsidéré de sa part de nous avoir entraîné là où nous sommes pour me faire maintenant ...
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