1. Découverte du journal intime de ma voisine si respectable.


    Datte: 25/12/2020, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, campagne, Collègues / Travail volupté, humilié(e), Oral pénétratio, fdanus, journal, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... secret pour elle. Curieusement, cette petite bonne femme avait gardé ses grosses lunettes pour avaler mon membre avec application !
    
    Un toussotement discret interrompit nos agapes. Germaine, dans l’ouverture de la porte, les bras encombrés de deux splendides laitues, nous regardait, impassible.
    
    — Je vous ai appelés… pas de réponse ! Comme les portes de la véranda étaient ouvertes, je me suis permis… Je suis bien contente que vous soyez là ; d’abord je vous ai apporté une bonne salade du jardin et ensuite je voulais vous inviter vendredi soir pour un barbecue, vous êtes libre ?
    
    Bien campé sur mes jambes, le sexe volumineux parallèle au sol, je lui répondis que pour moi cela ne posait aucun problème. Coco, toujours à quatre pattes sur le divan, la foufoune bien humide et la bouche baveuse, invectiva sa mère d’un vibrant : « On peut jamais être tranquille cinq minutes avec toi… ». Germaine, vexée, marmonna, déposa dignement ses salades et prit congé. On resta muets trois bonnes secondes, on éclata de rire et Corinne reprit gaillardement les rênes de ce coït interrompu… Depuis longtemps, plus rien ne m’étonnait. C’est donc tout à fait placidement que j’entendis la petite Corinne me demander de l’initier aux joies inconnues de la sodomisation.
    
    C’est le surlendemain des brochettes que Germaine se brisa le col du fémur, fracture classique à quatre-vingt-deux ans. Dans sa chambre d’hôpital, elle n’avait pas trop le moral, ma charmante voisine. Elle dégustait tristement ...
    ... mes chocolats ; la nuit tombait et il pleuvait des cordes ; Germaine était persuadée qu’elle n’allait pas s’en sortir. Cela tombait bien qu’on soit seuls, car elle avait un service à me demander. Elle sortit de sous les draps une feuille d’écolier jaunie, pliée en quatre, et me demanda de la lire. La lettre manuscrite, signée par son défunt mari, était en fait un aveu d’escroquerie. Dans un style pseudo juridique, ce Zorro de la lutte des classes reconnaissait avoir détourné, pendant quatre années, une partie des cotisations syndicales des camarades de son entreprise. Il s’engageait à les rembourser mensuellement.
    
    Germaine, le regard haineux, tint à ce que je sache l’entière vérité et que j’en fasse part à sa fille, après son décès qu’elle sentait probable. Elle avait trop honte pour le faire elle-même. Elle se soulagea enfin de son secret :
    
    — Pour que les trois responsables syndicaux, du secteur métallurgie, ne portent pas plainte devant les tribunaux, ce crétin leur proposa une contrepartie… et la contrepartie, c’était moi… Il ne m’avoua ce marché sordide que deux heures avant que ces trois porcs n’arrivent, un soir, à la maison. Bête comme j’étais, il arriva à me convaincre qu’une condamnation du tribunal tuerait ma mère malade et mettrait notre fils au banc de la société… Les trois hommes vidèrent les trois-quarts d’une bouteille de cognac et, quand ils commencèrent à me tripoter et à me déshabiller, mon mari quitta la maison… Le plus gros d’entre eux m’a empoignée et ...
«12...5678»