1. Découverte du journal intime de ma voisine si respectable.


    Datte: 25/12/2020, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, campagne, Collègues / Travail volupté, humilié(e), Oral pénétratio, fdanus, journal, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... apprenait ce qui se passait sous son propre toit.
    
    — Je n’ai vraiment aucun souci à me faire de ce côté-là. Si mamie Germaine ose me faire une réflexion, j’ai largement de quoi la remettre à sa place… En emménageant chez elle, il y a un an, j’ai fait du rangement ; j’ai découvert, cachés sous une pile de draps, trois vieux cahiers d’écolier qui lui avaient servi de journal intime pendant quelques années.
    
    Corinne, qui devait se sentir en confiance, jugea que les frasques de sa mère étaient assez drôles et insolites pour qu’elle me les raconte… d’autant qu’il y avait prescription !
    
    Maman, âgée de trente-deux ans et mère d’un garçon de trois ans, décida subitement de quitter son travail dans une usine textile. Elle n’explique pas pourquoi dans son journal… En plus, elle raconte que mon père, pourtant très autoritaire, n’a fait aucun commentaire quand elle le lui a annoncé…Tu ne trouves pas ça étrange ?
    
    Bref, comme elle était intelligente et ambitieuse (d’après elle, tout le contraire de son mari… néanmoins militant syndicaliste), elle répondit à la petite annonce d’un notaire, au veuvage récent, qui cherchait une espèce de gouvernante. Vêtue de ses habits du dimanche, ses longs cheveux noirs coiffés en un chignon sophistiqué, maman avait pris le bus pour se rendre à son entretien avec le notable. Au bout d’un quart d’heure de conversation, le notaire lui expliqua qu’il n’avait eu aucune descendance et lui fit comprendre clairement qu’il pourrait donc se montrer très ...
    ... généreux… Il suffisait que la gouvernante qu’il voulait embaucher se montre, disons… coopérative.
    
    Assise sur le bord du profond fauteuil en cuir réservé aux clients, maman dit avoir fermé les yeux quand le notaire lui avait lentement remonté sa jupe plissée blanche jusqu’à la taille. Un frisson la parcourut quand il empoigna son entrejambe à pleine main. Son index épousa sa fente, en glissant sur le satin. Elle ne protesta pas quand il la débarrassa promptement de sa culotte rose toute neuve. Le notaire se montra ravi que sa foufoune soit très poilue et il l’explora d’une main experte. Après avoir vérifié, sous la veste rouge carmin, que les seins de ma mère correspondaient à ses critères, il lui annonça qu’il l’embauchait et qu’ils allaient certainement très bien s’entendre. Pour sceller, en quelque sorte, le contrat d’embauche, il descendit son pantalon et son slip sur ses chevilles et invita sa nouvelle employée à sucer son membre.
    
    Coco m’expliqua que sa mère, d’après son journal intime, n’en avait ressenti aucune honte. Même quand le notaire l’avait relevée du fauteuil pour aplatir son buste sur le bureau avant de la prendre. Le notaire la pénétra, paraît-il, en douceur, avec d’infinies précautions ; pas du tout comme son mari, trop souvent imbibé d’alcool.
    
    Maman savait maintenant qu’elle était sortie de sa condition de prolétaire et qu’elle allait gagner de l’argent. Pendant sept ans, elle vint tous les matins en autobus. Une grosse campagnarde s’occupait des ...
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