1. Découverte du journal intime de ma voisine si respectable.


    Datte: 25/12/2020, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, campagne, Collègues / Travail volupté, humilié(e), Oral pénétratio, fdanus, journal, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    Découverte du Journal intime d’une dame apparemment respectable.
    
    Germaine, ma voisine octogénaire que je véhiculais à la gare, avait deviné que notre couple battait de l’aile, et elle ne s’étonna pas de la séparation prochaine dont je l’informais chemin faisant.
    
    Mon épouse s’était d’abord curieusement abstenue de me reprocher mon manque de tendresse. Elle redevint gaie, conciliante ; elle ne me surinait plus son sempiternel « on ne se parle jamais, on vit l’un à côté de l’autre sans communiquer… ». C’est donc sans surprise qu’elle m’apprit avoir trouvé l’âme sœur. Classique, après vingt-cinq ans de mariage (surtout quand la progéniture vole de ses propres ailes). Ce qui l’était moins, c’est que l’âme sœur avait dix ans de moins qu’elle et s’appelait… Claudine.
    
    Germaine saisit donc l’occasion pour me vanter les mérites de Corinne, sa fille aînée. Le plus naturellement du monde, elle me suggéra de la courtiser, car elle était persuadée que sa fille ferait une excellente compagne pour mes vieux jours. Le TGV s’éloignait et je n’avais pas osé informer la délicieuse mamie que les petites femmes maigres, sans le moindre soupçon de poitrine, ne faisaient pas partie de mon univers sensuel. Nobody is perfect ! Corinne est mère célibataire et presque fière de l’être. Elle avait choisi de ne pas convoler avec l’homme marié, géniteur de son fils. Pour financer les études universitaires du rejeton, elle a quitté son appartement pour venir s’installer chez sa vieille mère : ça ...
    ... arrangeait tout le monde. De retour de la gare, alors que je me préparais une splendide tarte flambée (avec de la pâte surgelée, double dose de lardons et d’oignons), Coco, après son boulot, vint s’informer du bon déroulement du transfert de sa maman. Vêtue de sa tenue traditionnelle de détente, un petit short rose bonbon et un débardeur blanc, la blonde et frêle Corinne aurait pu paraître beaucoup plus jeune que son âge, simplement en changeant sa grosse monture de lunettes.
    
    Sans aucune arrière-pensée et comme je n’aimais pas manger seul, Coco accepta mon invitation à partager ma pitance. Naturellement, on en vint à évoquer le projet naïf de sa chère maman, qu’elle connaissait également. Avec une hypocrisie qui m’étonna moi-même, je m’inventais une période sabbatique de réflexion. Coco s’avoua soulagée. Malgré les idées folles de sa mère qui voulait la caser à tout prix, Coco, elle, n’en avait aucune envie. Éprise de liberté, elle se voyait mal accepter les contraintes de la vie commune. « Pour mes petits besoins sexuels, j’arrive à me débrouiller… une petite masturbation… quelquefois un collègue de travail brimé par sa bonne femme et qui vient me faire un gros câlin à la maison, pourquoi pas un gentil voisin qui ne se prend pas la tête… ». Corinne fixa sur moi un regard en coin, en souriant de façon coquine.
    
    À peine choqué par ces révélations, je lui fis remarquer, en rigolant, que j’imaginais mal la réaction de sa vieille maman, veuve respectable, si un jour elle ...
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