1. Découverte du journal intime de ma voisine si respectable.


    Datte: 25/12/2020, Catégories: fh, hagé, fagée, extracon, campagne, Collègues / Travail volupté, humilié(e), Oral pénétratio, fdanus, journal, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... mon terrain envahi de chardons, alors que Germaine ramassait le linge sec pendu dans l’allée de son grand potager, mitoyen du mien. J’aurais dû me méfier, car elle me jetait des regards discrets, mais soutenus, pendant que, seulement vêtu d’un boxer-short de plage, je me battais avec la végétation. Je fis une pause alors qu’elle s’arrêtait à ma hauteur pour me demander si je ne voulais pas une barquette de fraises du jardin. Entente cordiale entre voisins qui s’était concrétisée par de nombreux apéros sympas. Quand elle revint, un quart d’heure plus tard, en tablier de travail, avec deux cagettes en bois, je remarquai bien qu’elle s’était recoiffée, remaquillée et même parfumée un peu trop. Mais je savais ma voisine très coquette.
    
    — Si vous voulez des fraises, jeune homme, il vous faut venir les cueillir
    
    C’est ainsi qu’on se retrouva en train de progresser, accroupis, l’un en face de l’autre, dans deux rangées parallèles du parc de fraisiers. Je trouvais quand même Germaine assez impudique, avec son tablier fortement remonté qui découvrait largement des jambes étonnamment musclées et fermes pour une dame de son âge.
    
    — Si vous passez votre temps à regarder mes jambes, vous n’aurez pas beaucoup de dessert ce soir… Mes fraises sont les meilleures du village, je vais vous en faire goûter une !
    
    Ce qui se passa alors me déclenche encore à ce jour une petite érection, rien que d’y repenser ! La fraise tenue par la queue, Germaine remonta lentement son tablier jusqu’à ...
    ... la taille et ouvrit complètement ses cuisses pour me montrer qu’elle ne portait aucune petite culotte. Elle me laissa me rincer l’œil sur sa foufoune très poilue avant de se caresser longuement la fente avec la fraise. L’érection qui distendait mon short de plage sembla la ravir quand elle abandonna la fraise humide entre mes lèvres.
    
    — Votre épouse n’est pas là, mon mari fait la sieste, le temps est splendide, c’est le moment idéal pour faire plus ample connaissance, cher voisin ! Vous ne trouvez pas ?
    
    Très excité par cette « mise en bouche », je la rejoignis derrière la parcelle de hauts framboisiers où elle m’attendait. Son tablier gisait au sol et elle prit ingénument une pose de magazine, pour affirmer implicitement qu’elle n’avait aucune honte, ni de sa poitrine épanouie, ni des vergetures qui descendaient jusqu’à sa touffe de poils hirsutes. Germaine engouffra sa mimine dans mon short, se saisit à pleine main de ma queue raidie et me branla calmement.
    
    — Comme une dame respectable ne peut pas avouer, à un ingénieur, qu’elle a très envie de lui sucer la bite, alors, cher monsieur, me ferez-vous l’honneur d’accepter une modeste fellation ?
    
    À aucun moment elle ne me laissa prendre l’initiative des opérations. Germaine baisait, point barre… Sans aucune pudeur, sans la plus petite parcelle de retenue, la voisine s’envoyait en l’air, le cerveau vidé de toute cellule émotive. Elle savait si bien y faire, la Madame, que j’osai les cochonneries les plus immondes, en ...
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