1. Ouf !


    Datte: 20/12/2020, Catégories: frousses, grosseins, hépilé, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme québec, Humour camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... assises côte à côte au soleil dans des chaises de camping et elles sirotaient leurs cafés en discutant. La rousse, toujours en serviette, Dieu merci, avait croisé ses longues jambes et battait du pied ce qui faisait jouer les gros muscles de ses cuisses sous la peau à peine dorée.
    
    J’avais une telle peur de me faire prendre que je suais à grosses gouttes et respirais bouche ouverte pour être le plus silencieux possible.
    
    Je me choisis un bon endroit pour filmer et me mis à genoux lentement, ma bite tendue à l’extrême pointant vers le ciel. Je me penchai un peu vers l’avant en soulevant ma caméra et mon gland toucha quelque chose d’extrêmement doux. Je baissai les yeux et le vis empêtré dans une épaisse toile d’araignée en forme de cône tissée entre deux petites branches mortes. Le monstre hideux jaillit aussitôt de sa cachette, une longue feuille séchée et enroulée. Un animal imposant d’un bon quatre centimètres de long, noir et jaune avec de grandes pattes répugnantes. Une puissante décharge électrique me traversa le corps et me fit presque sortir les yeux de leurs orbites.
    
    J’ai moins peur d’un ours que d’une araignée, c’est ma phobie. J’ai vraiment failli hurler cette fois, en sursautant violemment. La bestiole stoppa devant mon gland, essayant sans doute de comprendre ce qu’elle avait bien pu prendre dans sa toile. Ni pattes, ni ailes, une grande bouche mince à la verticale, ça ne criait pas et ça ne se débattait pas.
    
    Je l’imaginais déjà me piquer le gland pour ...
    ... ensuite l’envelopper dans un cocon, le liquéfier et le savourer lentement et probablement de l’intérieur.
    
    Doux Jésus ! Tout mon système électrique était en surcharge et mes nerfs tendus comme des cordes à piano.
    
    Je me reculai rapidement à genoux, la caméra dans une main, écartant des branches de l’autre, les yeux fous et le plus silencieusement que je pouvais en regardant la toile s’étirer. Et, dans ma panique, mon cul heurta un tronc d’arbre mort, me stoppant net. La toile s’était déchirée, ouf ! et l’araignée disparue, ouf ! Mais ou ?
    
    Complètement paniqué, je vérifiai mes bras, mon torse, mes jambes, ma bite, mais rien.
    
    Je soupirai longuement et me frottai le derrière parce que l’écorce sèche et rugueuse m’avait griffé les fesses et cela me chauffait terriblement. D’autres petites douleurs de plus.
    
    Moi et un gars des forces spéciales, ça faisait deux, aucun doute là-dessus !
    
    J’essayai de me débarrasser de la soie gluante collée à mon gland resté gonflé, sûrement à cause de la peur, mais elle adhérait à mes doigts et ça me chatouillait trop, je faillis jouir.
    
    En jetant des coups d’œil aux filles pour être certain qu’elles ne me voyaient pas, je pris une poignée de tourbe pour me nettoyer la bite puis les doigts, les yeux plissés tellement c’était agréable, surtout après ma petite frousse. J’en tremblais encore.
    
    Je respirai à fond, quelque peu épuisé, l’adrénaline qui retombait sans doute, remarquant que les femmes discutaient toujours calmement. Gros ...
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