1. Ouf !


    Datte: 20/12/2020, Catégories: frousses, grosseins, hépilé, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme québec, Humour camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... caméra et continuai en m’essuyant les yeux, sentant mes testicules m’élancer, mon orteil aussi et la bosse sur mon front.
    
    Douleur et plaisir, ce n’est pas pour moi !
    
    J’entendis leurs rires bien avant de les apercevoir et soudain, j’y étais.
    
    Juste d’être si près d’elles et nu me fit bander à nouveau et oublier mes petites souffrances, enfin, presque.
    
    Je stoppai, m’accroupis et vis entre les branches la roulotte jaune et le 4x4 gris. J’avançai encore plus prudemment, comme un soldat qui se retrouve tout à coup en plein milieu d’un champ de mines, mais tout nu, me déplaçant sur la gauche vers l’entrée du terrain pour dépasser le véhicule. Il y avait assez d’arbustes touffus pour que je puisse m’approcher un peu plus sans être découvert. Mon cœur accélérait toujours et ma bite était maintenant tellement dure qu’elle me faisait mal tandis que je me faufilais en me tortillant habilement entre les branches sans faire le moindre bruit.
    
    La peur d’être vu augmentait toutes mes sensations, me submergeait, me galvanisait, un peu comme une drogue. Je n’avais pas connu ça depuis fort longtemps et ça me rappela surtout l’époque où, au chalet, j’espionnais ma jolie petite tante Jeanine, une belle petite brune aux beaux yeux gris-bleu, du haut d’un gros cèdre dans lequel j’aimais grimper. Je la surveillais pendant qu’elle s’enduisait de crème solaire puis se faisait bronzer en bikini, seule près du lac, cachée aux regards par une rangée de petits sapins sans se douter que ...
    ... j’étais là, pratiquement juste au-dessus d’elle et bandé dur, la main dans le pantalon à caresser mon sexe, bouche ouverte.
    
    Les branches fournies du cèdre odorant me dissimulaient complètement et me permettaient de ne rien manquer. C’était mon endroit secret au chalet où je pouvais tout observer sans être vu.
    
    La plupart du temps, elle restait étendue sur le dos, jambes écartées, les bras le long du corps et semblait dormir. Comme tout garçon de mon âge, j’essayais d’imaginer ses seins dont la peau blanche débordait de son haut de maillot, me faisant saliver, ou son sexe si mystérieux dont j’entrevoyais la forme sous le tissu léger qu’elle étirait souvent pour mieux cacher de jolis poils noirs et frisés.
    
    Parfois aussi, couchée sur le ventre, elle enlevait son haut de bikini tout en regardant aux alentours pour vérifier qu’elle était bien seule, puis posait la tête sur ses bras croisés, les yeux fermés, se laissant dorer au soleil. La première fois que je l’avais surprise à faire ça, j’avais failli dégringoler de l’arbre, bandé plus dur que je ne l’avais jamais été. J’avais eu une peur bleue de tomber sur elle, je me rappelle encore mon cœur qui voulait me sortir de la poitrine. Dans les années 60, jamais on ne voyait comme maintenant de scènes de nudité explicites à la télé, à heure de grande écoute, en plus. Je n’avais même jamais vu de magazines pornos à cet âge-là non plus ; alors apercevoir ma jolie tante à demi nue… Ouf !
    
    Passé le véhicule, je les aperçus enfin, ...
«1...345...13»